Kevin Durant ne cache plus son envie de s’investir, et d’investir, dans une franchise NBA une fois sa carrière terminée. Propriétaire ou GM, l’ailier All-Star se voit bien diriger une équipe et se renseigne depuis quelques mois, entre rendez-vous business avec son ami et manager Rich Kleiman ou questions à son General Manager Bob Myers.
Avec l’arrivée d’une franchise NHL à Seattle, et même si la NBA ne compte pas s’agrandir avant 2025, un retour dans les bureaux du club qui l’a drafté serait de son propre aveu une « belle histoire ».
« Oh oui, bien sûr que je le ferais, réaffirme-t-il aujourd’hui chez ESPN au sujet d’un avenir de propriétaire. Que ce soit Seattle ou une autre équipe, pourquoi pas aider des jeunes à grandir, à aborder leur vie de joueur de basket. Surtout pour moi qui suis passé par là et qui ai presque tout connu en NBA – sauf un trade. J’adorerais offrir ça à une franchise, la connaissance que j’ai accumulée. Donc oui, je serais intéressé. »
Déterminé à jouer un rôle actif dans une franchise
Ayant découvert la NBA au coeur de la cité émeraude, KD garde un lien très fort avec et répète à l’envi qu’il adorerait voir un club y renaître. Et même si le Dub sait rester prudent dans ses propos, il assure être prêt à participer activement à ce potentiel retour si l’opportunité se présente.
« C’est parce que j’ai joué là-bas et que j’ai reçu tellement d’amour, probablement plus que n’importe où ailleurs, résume-t-il pour décrire le lien qui l’unit à la ville. Écoutez, ce serait une belle histoire, mais il y aurai beaucoup de boulot, ce ne serai pas facile parce que c’est Seattle. Il faudrait bosser directement après le communiqué de presse. Je sais que les gens veulent m’associer à la ville de Seattle, et j’adore ça, mais je ne suis pas en train d’attendre cette opportunité. »
En clair, Seattle aura la priorité mais il étudiera n’importe quelle autre piste : « Quelle que soit l’occasion qui se présente d’intégrer un groupe d’investisseurs ou la direction d’une franchise, ou même simplement pour conseiller l’équipe, je le ferai. Mais qui sait ce qui arrivera à la fin de ma carrière ? »