Depuis quelques jours, D’Angelo Russell et Spencer Dinwiddie montent en pression chacun de leur côté. Face à Philadelphie, ils ont accordé leur violon et réussi une grosse performance collective avec 69 points à 63% de réussite.
Deux Nets à plus de 30 points, on n’avait pas vu cela à Brookyn depuis avril 2015 et le duo Brook Lopez – Deron Williams.
« Je pense qu’on est les leaders des arrières, et chaque jour, on est capable de réaliser n’importe quelle type de performance, pour nous offrir une chance de gagner », explique D’Angelo Russell, auteur de 38 points. « Le truc, c’est de trouver une façon de le faire régulièrement. »
Encore fragile, l’association entre D’Angelo Russell et Spencer Dinwiddie (31 points) demande confirmation dans le temps.
« Il faut donner au coach la possibilité de faire son choix », poursuit l’ancien Laker. « Il peut se passer de moi, ou de Dinwiddie, ou nous faire jouer ensemble. Ça viendra avec le temps. C’est encore tôt. »
Et ça passera par des expériences répétées et des discussions.
« J’aime la communication », déclare Kenny Atkinson. « Ils se parlent à la fin du match, pour savoir comment faire les choses. Il y a une alchimie qui commence à émerger. Caris LeVert et D’Angelo avaient cela. Ça se passe bien avec Spencer aussi. Leur communication a été excellente et ça nous a aidés. »
Au point que les Nets n’étaient pas loin de faire tomber les Sixers. Mais Jimmy Butler est passé par là…