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Stanley Johnson a brillé au bon moment

Irrégulier et maladroit en début de saison, Stanley Johnson a été écarté des terrains pendant trois matches suite à des soucis au dos. Son absence a été parfaitement comblée puisque les Pistons ont gagné les trois rencontres.

Son retour a été encore plus compliqué. Déjà, Detroit a connu deux défaites et ses statistiques cumulées ont été affreuses : 5 points à 2/11 au shoot ! Le troisième match du retour ? 10 points mais à 4/13 au tir.

Il fallait qu’il digère sa blessure

Forcément, avant d’affronter Oklahoma City, Stan Van Gundy espérait mieux de son ailier et n’a pas hésité à lui dire.

« Je lui ai parlé à l’entraînement et je lui dit que je n’avais pas été trop derrière lui », explique le coach au site des Pistons. « J’étais conscient qu’il revenait depuis 3 matches, que cela prend du temps, mais désormais on avait besoin de plus. J’étais arrivé à un point où je devais réagir avec lui ou alors trouver une autre solution. »

Comme le rookie Luke Kennard par exemple. Mais ce ne fut pas nécessaire. Avec 11 points à 3/5 à 3-pts, 5 rebonds et d’excellents passages défensifs sur Carmelo Anthony et Paul George, Johnson a réalisé le bon match que son coach attendait de lui.

Ce qui n’a pas semblé l’étonner.

« Je ne suis jamais très bon après une blessure », reconnaît le joueur. « Rookie, je me suis fait mal à l’épaule, et j’ai ensuite connu trois matches de suite sans marquer un seul panier. Je ne base pas mon jeu sur des shoots marqués ou manqués, mais sur le bon tir à prendre et la défense. Quand je peux défendre, jouer les transitions et faire des stops, alors je joue bien. »

Reggie Jackson en fait le Draymond Green des Pistons

Seulement, pour sa troisième saison dans la ligue, on attendait encore davantage de l’ailier de Detroit. Il a déçu et n’a pas été facile à gérer pour sa franchise, il l’avoue.

« Mentalement, j’ai compris les gens et ça m’a rendu la vie plus facile, et le basket devient plus simple. J’ai compris certaines choses. »

Ses coéquipiers observent également sa nouvelle maturité – il n’a que 21 ans – et sa progression.

« Il devient meilleur, plus malin, et il a plus confiance en lui », liste Reggie Jackson. « Il commence à devenir, selon moi, comme un Draymond Green. Il nous donne le feu, devient un leader défensivement. Je suis heureux qu’il trouve enfin le succès. »

À confirmer donc.

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