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Free agency : les meilleurs arrières encore disponibles

jr-smithDepuis lundi, Dion Waiters n’est plus le numéro 2 de notre classement des meilleurs arrières disponibles sur le marché. L’ancien arrière des Cavs et du Thunder a rejoint le Heat pour un contrat de six millions sur deux ans. Un salaire modeste par rapport à son niveau et aux tarifs de cet été, et plus le temps passe, plus les joueurs sans contrat doivent s’attendre à faire des concessions…

1- J.R. Smith (Cavaliers)
Champion NBA en titre, ce bon Earl Joseph Smith III revient de loin : l’an passé, il avait décliné son option à 6.5 millions de dollars pour tester le marché et finalement revenir pour moins cher à Cleveland. Auréolé de son premier titre et de ses bonnes performances en playoffs, l’arrière espère désormais capitaliser sur cette saison pour signer son contrat le plus lucratif. D’après Basketball Insiders, il chercherait un contrat de 15 millions de dollars par an, une somme relativement honnête, à mi-chemin entre celles obtenues par Allen Crabbe et Jordan Clarkson. Il reste sans doute l’une des priorités de Cleveland mais la franchise désire certainement régler la situation de LeBron James au préalable.
Stats 2015-16 : 12.4 pts à 41.5%, 40% à 3-pts, 2.8 rbds, 1.7 pd, 1.1 int en 31 min (77 matchs)

2- Lance Stephenson (Grizzlies)
En difficulté avec les Hornets il y a deux saisons, Lance Stephenson a bien rebondi cette année, non sans mal. Investi aux Clippers, il n’a cependant pas eu le temps de jeu espéré et l’arrière/ailier a finalement trouvé son bonheur chez les Grizzlies, où il fut une pièce primordiale du dispositif de Dave Joerger pour l’accession aux playoffs. Pourtant, dans l’optique de signer Chandler Parsons et prolonger Mike Conley, Memphis a renoncé à une team option raisonnable (9 millions de dollars) et le joueur est désormais libre. S’il n’a pas toujours été exempt de tout reproche en terme de comportement par le passé, il a prouvé chez les Clippers et Grizzlies qu’il savait faire profil bas. Il n’a que 25 ans, du basket plein les mains et c’est forcément un pari intéressant à tenter.
Stats 2015-16 : 8.3 pts à 48.1%, 38.5% à 3-pts, 3.2 rbds, 1.9 pd en 20 min (69 matchs)

3- Alan Anderson (Wizards)
Opéré deux fois de la cheville gauche, Alan Anderson a tardé à retrouver les terrains et il ne s’est guère montré à son avantage après son retour. Le vétéran de 33 ans est pourtant un bon élément, un joueur d’équipe, en temps normal fiable des deux côtés du terrain. Selon CSNMidAtlantic, il s’est entretenu avec Washington début juillet ; pour l’heure, l’arrière n’a encore rien signé.
Stats 2015-16 : 5 pts à 35.6%, 32.4% à 3-pts, 2.1 rbds, 1.1 pd en 14.8 min (13 matchs)

4) Markel Brown (Nets)
Grand athlète, chien de garde par excellence, Markel Brown fut longtemps considéré comme l’un des (rares) jeunes les plus intéressants des Nets mais Brooklyn a finalement retiré sa qualifying offer. Guère aidé par sa fragilité constante depuis son arrivée dans la ligue (55 matchs manqués en deux ans), le jeune arrière n’a pas encore trouvé preneur. À 24 ans, et même s’il est quelque peu limité offensivement, son profil est intéressant, d’autant que c’est un vrai bosseur : dès la fin de la saison régulière, il était de retour au centre d’entraînement des Nets.
Stats 2015-16 : 5.9 pts à 39.4%, 31.4% à 3-pts, 2 rbds, 1.5 pd en 16 min (62 matchs).

5- Kevin Martin (Spurs)
Contre toute attente, il est légitime de se demander si la course à la bague de Kevin Martin avec les Spurs ne lui a pas coûté très cher pour sa fin de carrière ? Au-delà de l’échec collectif des Texans, l’arrière n’a surtout jamais trouvé de temps de jeu à San Antonio alors même qu’il était annoncé comme l’un des vétérans à même d’aider le banc à maintenir un haut niveau de jeu. À 33 ans, le joueur sort de sa pire campagne en carrière depuis sa saison rookie, un constat visible dans sa maladresse récurrente, même aux Wolves. Pour un shooteur, c’est ce qui fait le plus mal, d’autant qu’il ne peut pas se targuer de compenser dans les autres secteurs du jeu. Sa blessure au poignet ne l’a sans doute pas aidé mais malgré cette explication, le mal est fait. Où peut-il rebondir ?
Stats 2015-16 : 9.3 pts à 37.2%, 36% à 3-pts, 2 rbds, 1.1 pd en 20 min (55 matchs)

Mais aussi : P.J. Hairston, Gary Neal, Jared Cunningham, James Jones…

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