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Le tir à trois points ? Gregg Popovich déteste ça… mais s’en sert beaucoup

Avec 25 paniers de loin dans le Game 1, San Antonio et Miami ont confirmé leur statut de meilleures équipes à 3 points des playoffs. Les Spurs shootent ainsi à 40%, le Heat est juste derrière avec 39.7%.

Le shoot extérieur est une des clés de la finale, même si cela ne plaît pas à Gregg Popovich.

« Pour moi, ce n’est pas du basket, je n’aime pas ça, mais on doit les utiliser », explique un Gregg Popovich résigné à USA Today. « Si on ne le fait pas, on a des gros problèmes. Donc tout le monde doit composer avec ça, même si pour moi, un panier c’est deux points. Maintenant, ça peut valoir trois… »

Gregg Popovich fait contre mauvaise fortune bon cœur

Cette saison, il y a eu un peu moins de 53 000 shoots à 3 points tentés et les équipes shootent en moyenne quasiment autant de lancers-francs que de tirs de loin. San Antonio s’est donc adapté.

« Pop est intelligent », déclare Danny Green. « Même s’il déteste ça, il sait que pour réussir en NBA, on en a besoin. »

Le coach des Spurs a probablement encore en tête le shoot de Ray Allen qui a privé les Spurs du titre. Un shoot à 3 points, forcément…

« Je suis sûr que Pop n’aime pas ça, mais il le comprend », estime Shane Battier. « La différence est là : on n’est pas obligé d’aimer ce que l’on fait. Ils sont la meilleure équipe dans les corners depuis 10 ans, donc ils sont efficaces malgré les réticences. »

Miami adore le shoot à 3 points

Côté Miami, on a rapidement compris l’importance de cette arme. Ray Allen est venu pour ça, ainsi que Shane Battier, Rashard Lewis, James Jones, ou anciennement Mike Miller. Mario Chalmers et Norris Cole le font aussi. Seuls Chris Andersen et Greg Oden ne sont pas capables de mettre dedans à plus de 7 mètres.

Quant au Big Three, il est monté en puissance. Les deux première saisons, il tournait à 17.4 shoots à 3 points tentés par match et 36% de réussite. Depuis le titre de 2012 ? 22.1 tentés et 38% de réussite.

« La douleur de 2011 a forcé notre équipe à s’adapter offensivement », raconte Erik Spoelstra. « Nous ne sommes pas seulement une équipe de périmètre. On inverse souvent avec des joueurs extérieurs dedans et des joueurs intérieurs plus loin du panier. Il faut savoir changer les choses, sinon, la douleur revient. »

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