« Je ne reviendrai plus jamais sur un banc ».
Avant de débuter son interview pour USA Today, Phil Jackson rappelle qu’il est inutile de citer son nom dans les rumeurs. Coacher, c’est terminé pour lui. En revanche, il se verrait bien comme dirigeant, et en attendant le bon projet, il évoque son rôle de consultant à Detroit.
« J’ai eu quelques opportunités, mais je ne devrais pas les nommer. Ce ne serait pas juste d’en parler, ou de nommer qui que ce soit. Mais il y en a eues… (…) L’année dernière, je suis allé à Detroit et j’ai rencontré Joe Dumars, le président. On n’a pas rencontré le succès, mais j’avais vraiment encouragé le propriétaire à ce que ce soit le GM qui sélectionne le coach pour que leur succès soit commun. Joe voulait Mo (Cheeks) mais malheureusement, ça n’a pas marché. »
Combien touche-t-il pour ce travail de consulting ?
« Je suis comme un conseiller. Un conseiller bénévole, et jusqu’à présent, mes conseils n’ont pas été géniaux » ironise-t-il.
En fait, Jackson est devenu proche de Tom Gores, le propriétaire, qui vit à Los Angeles, et il ne souhaite pas que l’argent s’immisce dans leurs rapports.
« Tom est quelqu’un de généreux, mais je ne veux pas qu’il ait l’impression que cela ira au-delà du conseil. Je lui apporte un point de vue professionnel, et c’est tout. »
Et que pense-t-il des Pistons ?
« J’aime la direction prise. Ils ont fait des choix curieux de recrutement parmi les free agent mais j’apprécie leurs jeunes. Andre Drummond est bon. »