Dans son discours d’intronisation au Hall Of Fame, Bernard King a notamment rendu hommage aux légendes des Knicks, et à Carmelo Anthony, dont il reste l’idole de jeunesse. Il a conclu avec un sobre, mais magnifique, « Papa, maman, je l’ai fait ».
Gary Payton a lui, sur le ton de l’itonie, avoué avoir imité George Foreman dans le choix des prénoms de ses enfants (Gary 1, Gary 2…), rendu lui aussi hommage à ses anciens coaches et coéquipiers, surtout Shawn Kemp. Pour conclure, il s’est adressé à Reggie Miller lui lâchant un « Je suis le plus grand trash talker de l’histoire ».
Un béret sur la tête pour cacher les stigmates de son opération au cerveau, Oscar Schmidt a pris son temps avant de démarrer son discours. Mais le début fut tonitruant.
« C’est trop facile de prendre Michael Jordan ou Kobe Bryant comme idoles. Ces gars-là volent et font ce que vous voulez. Mon idole ne court pas, ne saute pas, mais est meilleure que tout le monde. Le voici (il montre Larry Bird). C’est mon idole, et selon moi, il est le meilleur joueur de tous les temps. »
Il a ensuite rappelé que son plus beau souvenir restera cette victoire contre Team USA en 1987 à Indiana, dans un discours de 18 minutes très amusant.
Bernard King
Gary Payton
Oscar Schmidt