Evan Fournier n’est pas sûr de faire partie des douze qui iront au championnat d’Europe, en septembre, surtout qu’il a très peu joué lors du premier match de préparation. Néanmoins, l’arrière des Nuggets reste confiant et vise la plus haute marche du podium.
« Une compétition, on la joue pour la gagner », confie-t-il à la FFBB. « On ne joue pas pour finir dans le top 5. J’ai la chance de faire partie d’une bonne génération qui, malheureusement, n’a pu être au complet en juniors, lors de notre deuxième année, en 2010, où nous aurions dû être les plus forts. On a quand même réussi à nous qualifier pour quatre demi-finales européennes et à remporter trois médailles, ce qui démontre une certaine compétitivité ».
Comme Léo Westermann, issu lui aussi de la génération 1992, Evan Fournier n’a en effet jamais remporté de titre avec l’équipe de France chez les jeunes.
« Ce qui nous manque, c’est une médaille d’or. Leo et moi nous la gagnerons avec les A. Champion d’Europe, ça me fait rêver. En plus je viens d’une famille où l’équipe nationale est très importante donc l’Equipe de France pour moi, c’est primordial dans une carrière ».