Après avoir inscrit 38 points contre Indiana et 54 pts contre New York, le tout en deux jours, Stephen Curry était attendu à Boston.
Les Celtics et Avery Bradley s’étaient préparés spécialement et ils ont réussi leur mission. Muselé pendant tout le premier quart temps par l’arrière de Boston, Curry n’avai ainsit marqué qu’un point lorsqu’Avery Bradley a rejoint le banc pour la première fois.
« Avery a donné le ton très tôt », raconte Kevin Garnett au Boston Globe.
Au final, Curry a terminé la rencontre avec total honorable de 25 pts, mais avec un pourcentage beaucoup plus douteux : 6/22 au shoot.
« J’ai essayé de tout lui rendre compliqué », explique Avery Bradley.
La pression imposée par Bradley a ensuite conditionné tout le jeu du meneur de Golden State. Même si les Celtics voulaient beaucoup plus que simplement éteindre Curry.
« Il est le meilleur shooteur de la ligue, et il a manqué des shoots ouverts. Mais je pense qu’il a shooté vite. Il voulait rapidement se séparer de la balle », constate Doc Rivers. « J’avais dit aux gars que si Curry marquait 54 pts et que nous venions à gagner le match, je prenais tout de même. »