Assommé par des décontractants, Danny Granger a attendu le money time pour sortir de sa léthargie.
Face à un Jazz qui venait de prendre les commandes du match après avoir compté jusqu’à 21 points de retard, Granger inscrit 12 de ses 16 points dans le dernier quart-temps.
Un total suffisant pour permettre aux Pacers de s’imposer 104-99.
« C’était censé m’aider à dormir mais ça m’a rendu groggy toute la journée. Je pensais que les effets s’estomperaient avant le match, mais rien à faire ! » raconte Granger à propos de ses médicaments pris pour dormir.
Heureusement pour Indiana, il avait encore assez de jus pour faire la différence dans le money time.
« On savait qu’ils allaient le chercher et qu’à un moment il allait mettre dedans. Il est indispensable à cette équipe » conclut Tyrone Corbin, le coach du Jazz.
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