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De nouveau primé, Mike Conley donne sa définition du bon coéquipier

NBA – Le meneur des Wolves a remporté pour la deuxième fois de sa carrière le trophée Twyman-Stokes du meilleur coéquipier.

Mike Conley

Il a été « surpris » de remporter ce trophée qui ne l’obsède pas vraiment. « Honnêtement, je n’en attends rien. Je ne m’attends pas à être reconnu, à être récompensé », livre Mike Conley. Pour la seconde fois de sa carrière, le meneur des Wolves a remporté le trophée Twyman-Stokes du meilleur coéquipier. Une récompense qui ne manque toutefois pas de sens pour lui.

« Recevoir une récompense de cette nature et de cette ampleur signifie bien plus que le jeu, que le basket. Cela signifie le genre de personne, de joueur que vous êtes, le genre de compassion que vous avez, le genre de nature compétitive que vous avez envers le jeu, et la façon dont vous pouvez effectivement changer les gens autour de vous pour le meilleur et avoir un impact positif sur les gens », apprécie le vétéran.

Mais concrètement, que signifie être un « bon coéquipier » ? Selon Mike Conley, cette notion est d’abord liée à sa personnalité, la façon dont il a été élevé et la façon dont il traite les gens.

Inviter un coéquipier à manger

« Je guide en faisant tout un tas de choses différentes. Cela peut être en montrant l’exemple, en s’exprimant, en invitant un joueur à manger lorsqu’il est en baisse de régime ou en vérifiant que tout va bien. En fin de compte, les gars retiennent que je les place au-dessus de moi à tout moment, et il est évident que les gars aiment être entourés de personnes comme ça », énumère Mike Conley.

Selon ce dernier, l’aspect le plus important est l’ « empathie » et une ouverture continue sur l’autre. « Évidemment, on a tous été élevés différemment, on vient de régions différentes, on a vu des choses différentes, alors j’essaie de disséquer cela avec chaque gars. Comment parler à Rudy Gobert ? Il vient d’un autre pays. Comment a-t-il grandi ? Je n’en sais rien. Comment parler à Ant (Anthony Edwards) ? Il vient de Géorgie, et comment puis-je lui parler différemment de KAT (Karl-Anthony Towns) ? »

En somme, comme il le dit, « tout le monde a ses particularités, on peut lui parler différemment ou le guider différemment, et j’ai la capacité de reconnaître cela avec chaque personne et d’établir un lien avec tout le monde. » Des qualités de nouveau reconnues par ses pairs.

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