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Au cœur d’une « free agency » éprouvante, Eric Paschall a pensé arrêter

NBA – Après sa saison discrète au Jazz l’an dernier, l’intérieur a connu des jours compliqués avant de viser le rebond dans le Minnesota.

L’époque où il était l’un des meilleurs marqueurs des Warriors semble très lointaine… Depuis sa prometteuse saison rookie (14 points de moyenne) lors de la saison noire des Californiens, en 2020, Eric Paschall est sur la pente glissante. Étonnamment « bazardé » par les futurs champions NBA, il a connu un dernier exercice discret au Jazz.

Un temps annoncé au Panathinaikos, il a finalement trouvé une ouverture avec les Wolves cet été. Non sans avoir carrément pensé… à jeter l’éponge. « J’ai eu le sentiment de ne pas être au mieux de ma forme sur le plan mental, d’être usé. Genre : ‘Je pourrais arrêter de jouer au basket’ », confie le joueur de 25 ans, marqué par une « free agency » moins animée pour lui qu’il ne l’imaginait.

« Tu voies les autres joueurs être recrutés et toi, tu ne reçois pas d’appel. Tu appelles ton agent tous les jours. J’en étais donc à un point où je me disais que je pourrais prendre ma retraite », se souvient l’intérieur de petite taille (1,98 mètre), qui dit avoir pu compter sur le soutien de son ami, et ancien coéquipier dans l’Utah, Donovan Mitchell. Ce dernier, finalement transféré à Cleveland, a connu une « free agency » beaucoup plus agitée mais a été à l’écoute « quasiment tous les jours ».

« Si j’arrêtais de jouer, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire ? C’était la vraie question. Je ne savais pas ce que j’allais faire. Je me disais : ‘Bon sang, je n’ai même pas de plan.’ Et puis je me suis dit que j’étais encore dans mes belles années, j’ai 25 ans. Mais ça prouve que la question de la santé mentale est réelle. Il y a eu des bons jours, d’autres mauvais », témoigne encore le joueur qui a dû se contenter d’un « two-way contract » des Wolves.

Auteur d’une première sortie anecdotique en présaison (1 point en 13 minutes), Eric Paschall, qui retrouve Rudy Gobert dans la raquette des Wolves, assure qu’il n’a pas été simple d’accepter ce genre de contrat précaire. « J’ai dû avoir beaucoup de conversations difficiles à ce sujet. Mais j’ai l’impression d’être dans une bonne situation maintenant. Je suis plutôt heureux d’être ici » confirme-t-il ainsi pour conclure.

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