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Saison régulière | Ces records impossibles à battre en carrière

NBA – À l’approche de la nouvelle saison, l’heure est venue de se pencher sur ces records, établis il y a plusieurs années, que beaucoup considèrent encore comme intouchables. Troisième partie : les records en carrière.

Il y a désormais plus d’une décennie, nous débattions déjà ensemble de ces records jugés impossibles à battre.

Pourtant, quelques uns sont tombés entre temps, à l’instar des 72 victoires (pour 10 défaites) des Bulls, sur la saison 1995-96, ou des totaux de triple-doubles d’Oscar Robertson : 41 sur une saison (1961-62) et 181 en carrière.

Et les bourreaux de Chicago et du « Big O » ne sont autres que les Warriors de la saison 2015-16 (73 victoires – 9 défaites) et Russell Westbrook (42 triple-doubles en 2016-17, avec pour le moment 184 en carrière).

Preuve que l’impossible peut devenir possible, avec certaines anomalies de ce sport. Mais, même s’il est de coutume de « ne jamais dire jamais », il y a de fortes chances pour que la grande majorité des records listés ci-dessous ne soient bel et bien jamais battus, à l’avenir.

À lire également : ces records impossibles à battre sur un match

Pour la troisième et dernière partie de cette rétrospective, attardons-nous sur ces records en carrière a priori impossibles à dépoussiérer.

38 387 points – Kareem Abdul-Jabbar

Cela fait 37 ans que cet illustre record appartient à Kareem Abdul-Jabbar. En avril 1984, « KAJ » a évidemment dépassé Wilt Chamberlain pour s’établir comme le meilleur marqueur de l’histoire. Il portera finalement son total à 38 387 points, soit 7 000 de plus que « Wilt the Stilt » (31 419), aujourd’hui 7e de ce classement, derrière Karl Malone (36 928), Kobe Bryant (33 643), Michael Jordan (32 292) et Dirk Nowitzki (31 560). Sans oublier un certain LeBron James.

Car le « King » est celui qui pourrait détrôner Kareem Abdul-Jabbar dans les prochaines années. Avec ses 35 367 points en carrière, le quadruple MVP a encore besoin d’inscrire 3 021 points pour passer devant le sextuple MVP. Autrement dit une saison pleine de 82 matchs à 36.8 points de moyenne, ou plutôt deux saisons pleines de 82 matchs à 18.4 points de moyenne.

À bientôt 37 ans, LeBron James, qui n’est jamais descendu sous les 25 points de moyenne depuis sa saison rookie, en 2003-04, a donc la possibilité de marquer l’histoire de son sport pour de bon, avec ce record considéré depuis très longtemps comme inaccessible. Modèle de longévité, « LBJ » devra néanmoins éviter les blessures, en plus de conserver un niveau de jeu correct, au moins jusqu’à ses 39 ans…

À lire également : ces records impossibles à battre sur une saison

Matchs à 40+ points, 50+ points et 60+ points – Wilt Chamberlain

Autant être clair tout de suite : avec 271 matchs à 40+ points, 118 matchs à 50+ points et 32 matchs à 60+ points, Wilt Chamberlain est tout bonnement intouchable dans chacune de ces trois catégories statistiques. Et il semble impensable d’imaginer quelqu’un le déposséder de ces records, un jour.

Jugez-en par vous-mêmes, à travers ces classements…

40+ points 50+ points 60+ points
1. Wilt Chamberlain – 271 1. Wilt Chamberlain – 118 1. Wilt Chamberlain – 32
2. Michael Jordan – 173 2. Michael Jordan – 31 2. Kobe Bryant – 6
3. Kobe Bryant – 122 3. Kobe Bryant – 25 3. Michael Jordan – 4
4. James Harden – 101 4. James Harden – 23 3. James Harden – 4
11. LeBron James – 66 7. LeBron James – 12 5. Elgin Baylor – 3
13. Kevin Durant – 58 7. Damian Lillard – 12 5. Damian Lillard – 3

10 titres de meilleur marqueur de la ligue – Michael Jordan

Avec des moyennes de points de 37.1, 35.0, 32.5, 33.6, 31.5, 30.1, 32.6, 30.6, 29.6 et 28.7, respectivement établies entre 1987 et 1993, puis entre 1996 et 1998, « His Airness » a occupé la tête du classement des meilleurs marqueurs lors de 10 de ses 15 saisons NBA ! Une véritable domination, que même Wilt Chamberlain n’est pas en mesure de contester, puisqu’il ne compte « que » 7 titres de meilleur marqueur de la ligue (1960-66).

Suivent ensuite George Gervin (1978-80, 1982), Allen Iverson (1999, 2001, 2002, 2005) et Kevin Durant (2010-12, 2014) avec 4, puis George Mikan (1949-51), Neil Johnston (1953-55), Bob McAdoo (1974-76) et James Harden (2018-20) avec 3. Vous l’aurez compris, d’ici la fin de leur carrière, même les joueurs actuellement en activité seront incapables de rattraper un Michael Jordan qui a placé la barre beaucoup trop haute.

23 924 rebonds – Wilt Chamberlain

Capable de récupérer 55 rebonds dans un match ou de capter 27.2 rebonds par rencontre sur une saison, Wilt Chamberlain est logiquement celui qui a gobé le plus de rebonds au cours de sa carrière : 23 924, pour une invraisemblable moyenne globale de 22.9 ! Là aussi, il s’agit de la plus élevée de l’histoire, juste devant les 22.5 de son grand rival, Bill Russell.

Bill Russell, justement, culmine quant à lui à 21 620 rebonds en cumulé. S’imposant comme le dauphin de Wilt Chamberlain dans cette catégorie statistique, tandis que Kareem Abdul-Jabbar (17 440), Elvin Hayes (16 279) ou Moses Malone (16 212) sont loin derrière au classement. Et parmi les joueurs en activité, c’est Dwight Howard qui mène la danse, avec 14 271 rebonds récupérés au total. Quasiment 10 000 de moins que Wilt Chamberlain, donc, soit une carrière entière de DeAndre Jordan (9 878) !

11 titres de meilleur rebondeur de la ligue – Wilt Chamberlain

À l’instar de Michael Jordan, Wilt Chamberlain a lui aussi survolé une catégorie statistique : celle du rebond. Tant sur un match, que sur une saison ou qu’en carrière, comme vu précédemment. Et cette domination s’est matérialisée avec un total record de 11 titres de meilleur rebondeur de la ligue : entre 1960 et 1963, entre 1966 et 1969, puis entre 1971 et 1973 !

Assez loin derrière Wilt Chamberlain et ses 11 sacres, on retrouve Dennis Rodman, dominateur à 7 reprises de ce classement annuel (1992-98), mais qui possède néanmoins le record de titres consécutifs. Moses Malone a, quant à lui, terminé 6 fois en tête (1979, 1981-85), alors que, chez les joueurs en activité, Dwight Howard a raflé 5 fois cette récompense honorifique (2008-10, 2012, 2013), contre 4 pour Andre Drummond (2016, 2018-20).

15 806 passes – John Stockton

Ce record de John Stockton, c’est le synonyme même des termes « régularité », « longévité » et « excellence ». Avec 15 806 passes décisives délivrées en 19 ans de carrière, pour une moyenne globale de 10.5 offrandes par match (la deuxième meilleure de tous les temps, derrière les 11.2 de Magic Johnson), l’iconique meneur du Jazz caracole en tête des passeurs les plus prolifiques de l’histoire.

Classé « juste » après John Stockton, Jason Kidd (12 091) se retrouve largué, puisqu’il lui aurait fallu encore cinq saisons pleines de 82 matchs, à 10 passes de moyenne, pour espérer dépasser « Stock ». Quant à Steve Nash (10 335), Mark Jackson (10 334) et Magic Johnson (10 141), ils sont eux aussi largement derrière. Et pour ce qui est de Chris Paul et ses 10 275 passes décisives en carrière, impossible également de viser plus haut que la deuxième place de Jason Kidd, si ce n’est que la troisième de Steve Nash.

9 titres de meilleur passeur de la ligue – John Stockton

Comme Michael Jordan et Wilt Chamberlain, le maestro John Stockton a lui aussi instauré une véritable hégémonie sur une catégorie statistique : la passe. De 1988 à 1996, le meilleur passeur de l’histoire a ainsi terminé meilleur passeur de la ligue, sans jamais descendre sous la barre des 11 passes décisives de moyenne ! Avec une pointe record à 14.5, en 1989-90.

Autant dire que les Steve Nash, Jason Kidd, Magic Johnson et Chris Paul ne peuvent pas lutter avec John Stockton, eux qui comptent respectivement 5, 5, 4 et 4 titres de meilleur passeur de la ligue. Au final, seul Bob Cousy est en mesure de tenir la comparaison avec « Stock », puisque l’ancien meneur des Celtics a dominé ce classement à 8 reprises dans les années 1950, sans toutefois dépasser les 10 passes de moyenne. Quant à Oscar Robertson, il a terminé 6 fois au sommet de cette catégorie statistique, dans les années 1960.

3 265 interceptions – John Stockton

John Stockton, encore lui, trône également en tête du classement des intercepteurs les plus prolifiques de l’histoire. Avec un total de 3 265 interceptions réussies dans sa carrière, soit une moyenne de 2.2 par rencontre (la septième meilleure de tous les temps), « Stock » possède, là encore, une avance considérable sur ses poursuivants.

À commencer, une fois de plus, par Jason Kidd, qui totalise 2 684 ballons volés en NBA. Autrement dit un retard de quatre saisons pleines de 82 matchs à 2 interceptions par match. Suivent ensuite Michael Jordan (2 514), Gary Payton (2 445) et Chris Paul (2 332), le premier joueur en activité à figurer dans ce classement. Mais, même s’il joue toujours, « CP3 » ne pourra jamais rattraper John Stockton, bien trop loin pour lui.

6 titres de meilleur intercepteur de la ligue – Chris Paul

Si Chris Paul ne fait pas le poids avec John Stockton au niveau des titres de meilleur passeur de la ligue, il le domine largement en termes de titres de meilleur intercepteur de la ligue. En 2008, 2009, 2011, 2012, 2013 et 2014, « CP3 » a effectivement terminé au sommet de cette catégorie statistique, pour un total de 6 récompenses honorifiques.

Soit deux fois plus que Micheal Ray Richardson, Michael Jordan, Alvin Robertson et Allen Iverson, tous dominateurs de ce classement à 3 reprises, dans les années 1980, 1990 et 2000. Quant à John Stockton, le meilleur intercepteur de tous les temps, il ne compte étonnamment que 2 titres de meilleur intercepteur de la ligue.

3 830 contres – Hakeem Olajuwon

S’il n’est pas le recordman de contres sur un match ou sur une saison, Hakeem Olajuwon est pourtant celui qui a contré le plus de tirs en cumulé : 3 830 ! Soit une moyenne saisissante de 3.1 par rencontre, en 18 ans de carrière (la troisième meilleure de l’histoire, derrière les 3.5 de Mark Eaton et les 3.3 de Manute Bol), pour « The Dream », accessoirement triple meilleur contreur de la ligue (1990, 1991, 1993).

Une régularité exceptionnelle de la part d’Hakeem Olajuwon, qui fait mieux que les 3 289 contres de Dikembe Mutombo, les 3 064 de Mark Eaton ou les 3 020 de Tim Duncan. Quant à Kareem Abdul-Jabbar, certes auteur de 3 189 contres au cours de sa carrière, il aurait très certainement pu faire beaucoup mieux (entre 800 et 1 000 de plus ?), si la NBA n’avait pas attendu la saison 1973-74, autrement dit sa cinquième dans la ligue, pour comptabiliser cette statistique…

À noter que le joueur en activité le mieux classé au contre se nomme Dwight Howard, avec ses 2 192 tirs contrés.

967 double-doubles – Wilt Chamberlain

Sur ses 1 045 matchs de saison régulière disputés en carrière, Wilt Chamberlain a terminé en double-double lors de 967 d’entre eux. Un impressionnant total qui fait de lui le recordman dans le domaine, devant Moses Malone (894), Kareem Abdul-Jabbar (885) et Elvin Hayes (885).

Machine à statistiques, et donc à double-doubles, Wilt Chamberlain ne devrait pas être inquiété de sitôt, puisque son premier poursuivant chez les joueurs en activité se nomme Dwight Howard (743), et qu’il a déjà 35 ans, en plus de ne pas être autant utilisé qu’avant. Derrière, les LeBron James (507), Chris Paul (471), Russell Westbrook (450) et Kevin Love (441) sont largués, tandis qu’Andre Drummond (435) a vu sa carrière prendre un nouveau tournant, dernièrement…

184 triple-doubles – Russell Westbrook

Après six années dans la ligue, Russell Westbrook ne totalisait que 8 triple-doubles. Puis, à partir de l’exercice 2014-15, il a appuyé sur l’accélérateur pour grimper à 19, 37, 79, 104, 138, 146 et 184, saison après saison, jusqu’en 2021. Au point d’effacer des tablettes l’ancien recordman en la matière, Oscar Robertson, qui s’était arrêté à 181 triple-doubles en carrière, entre 1960 et 1974.

Ce record du « Big O » était pourtant considéré comme inaccessible pour quiconque. Sauf que le « Brodie » a repoussé les limites du raisonnable et, à 32 ans, il aura encore quelques années devant lui pour placer la barre bien plus haute. Car, même si LeBron James (99) est très loin derrière Russell Westbrook, parmi les joueurs en activité, un certain Luka Doncic (36) est déjà parti sur des bases assez folles, au bout de trois ans en NBA.

1 611 matchs – Robert Parish

Deuxième joueur le plus âgé à évoluer en NBA, à 43 ans et 232 jours (après Kevin Willis et ses 44 ans et 224 jours), Robert Parish a joué longtemps, très longtemps. Suffisant pour totaliser un record de 1 611 matchs de saison régulière en carrière, sur ses 21 années dans la ligue, partagées entre Golden State, Boston, Charlotte puis Chicago.

Derrière le « Chief » Robert Parish, on retrouve un autre joueur éternel, Kareem Abdul-Jabbar (1 560), puis deux jeunes retraités, Vince Carter (1 541) et Dirk Nowitzki (1 522). Sauf catastrophe, ce record de l’ancien illustre pivot des Celtics devrait durer encore longtemps, puisque LeBron James, qui semblait potentiellement en mesure de l’inquiéter, ne compte « que » 1 310 rencontres de saison régulière. Soit un retard de quatre saisons de 82 matchs, alors qu’il s’approche de ses 37 ans…

1 192 matchs consécutifs – A.C. Green

« Iron man » et « role player » par excellence, A.C. Green n’a, rendez-vous compte, raté aucun match de saison régulière entre le 4 novembre 1986 (sa deuxième saison dans la ligue) et le 18 avril 2001 (année de sa retraite). Soit un invraisemblable total de 1 192 rencontres disputées consécutivement !

Le record de Randy Smith (906, entre le 18 février 1972 et le 13 mars 1983) avait ainsi été pulvérisé, et il y a de fortes chances pour que la prouesse statistique d’A.C. Green tienne encore pendant (très) longtemps. D’autant plus en sachant que l’actuel « Iron man » de NBA se nomme Mikal Bridges, avec une série de 227 matchs joués à la suite, depuis le 17 octobre 2018, jour de ses débuts dans la ligue avec les Suns.

1 040 matchs consécutifs à 10+ points – LeBron James

Déjà particulièrement impressionnante, cette série de LeBron James tient toujours ! Depuis le 6 janvier 2007, lorsqu’il était alors âgé de 22 ans, le « King » n’a jamais inscrit moins de 10 points lors d’une rencontre de saison régulière. Cela donne donc, en tout et pour tout, 1 040 matchs consécutifs à 10+ points ! Preuve de l’incroyable longévité et résistance aux blessures de l’ailier des Lakers.

Et cette série se place loin devant l’ancien record de Michael Jordan, qui avait enchaîné 866 matchs de saison régulière consécutifs avec au moins 10 points, entre le 25 mars 1986 et le 26 décembre 2001. À noter que, derrière LeBron James, c’est Kawhi Leonard qui possède la série la plus longue, parmi les joueurs en activité, avec 175 matchs de saison régulière consécutifs à 10+ points (depuis le 21 décembre 2017).

4 657 fautes personnelles – Kareem Abdul-Jabbar

Encore un record, certes pas très glorieux, qui s’apparente surtout à de la longévité (et à un poste plus exposé que d’autres). Présent en NBA entre 1969 et 1989, Kareem Abdul-Jabbar est effectivement celui qui s’est fait le plus souvent réprimander par les arbitres, au point de collecter 4 657 fautes personnelles lors de sa carrière.

Soit davantage que d’autres intérieurs établis des années 1980 et 1990, comme Karl Malone (4 578), Robert Parish (4 443), Charles Oakley (4 421) ou Hakeem Olajuwon (4 383). Et pour voir un joueur en activité approcher le total de Kareem Abdul-Jabbar, il faudra attendre beaucoup, beaucoup de temps, puisque Dwight Howard ne compte « que » 3 797 fautes personnelles.

332 fautes techniques – Karl Malone

Si Rasheed Wallace est considéré comme le roi de la faute technique, grâce notamment à son total record de 41 écopées sur la seule saison 2000-01, Karl Malone est bien celui qui en a récolté le plus, au cours de sa carrière, longue de 19 ans : 332 ! Le « Mailman » devance d’une courte tête Charles Barkley (329, en 16 ans de carrière), tandis que le « Sheed » (317, en 16 ans de carrière) se hisse à la troisième place.

Parmi les joueurs en activité, Russell Westbrook domine ce classement, avec ses 183 fautes techniques accumulées en 13 ans de carrière, devant les 178 de son nouveau coéquipier, Dwight Howard (en 17 ans de carrière), et devant les 156 de Carmelo Anthony (en 18 ans de carrière), également membre des Lakers. Quant à Draymond Green, il en compte 131 (en 9 ans de carrière), alors que DeMarcus Cousins en totalise 137 (en 11 ans de carrière).

21 saisons avec la même franchise – Dirk Nowitzki

En disputant 20 saisons avec les Lakers, entre 1996 et 2016, Kobe Bryant avait déjà placé la barre très haute, au moment de sa retraite. Mais, à peine trois ans plus tard, Dirk Nowitzki est parvenu à améliorer le record de son ancien rival, en se retirant des parquets à l’issue de sa 21e saison disputée avec les Mavericks (1998-2019).

Homme d’une seule franchise, comme Kobe Bryant, donc, ou John Stockton (19 saisons avec le Jazz), Tim Duncan (19 avec les Spurs) et Reggie Miller (18 avec les Pacers), Dirk Nowitzki reste pourtant sous la menace d’Udonis Haslem, qui s’apprête à débuter la 19e saison de sa carrière avec le Heat. Mais l’intérieur iconique de Miami, aujourd’hui âgé de 41 ans, sera-t-il encore sur les parquets en 2024-25, pour vivre une 22e saison à South Beach ? Cela semble très peu probable.

22 qualifications consécutives en playoffs – Syracuse Nationals / Philadelphie Sixers & San Antonio Spurs

Modèles de régularité et d’excellence sous les ordres de Gregg Popovich, et dans le sillage de Tim Duncan, les Spurs ont enchaîné pas moins de 22 qualifications consécutives en playoffs, entre 1998 et 2019 ! Il s’agit évidemment d’un record en NBA, à égalité avec les Syracuse Nationals / Philadelphie 76ers (à partir de 1964), entre 1950 et 1971.

Pour aller chercher cette impressionnante série de San Antonio, il va ainsi falloir s’accrocher, puisque les Blazers, actuellement détenteurs de la plus longue série en cours, ne pointent « qu’à » 8 qualifications d’affilée, depuis 2014. Et, compte tenu de l’avenir incertain de Damian Lillard ou de la compétitivité de la conférence Ouest, elle n’a jamais semblé aussi proche de s’arrêter. Ce qui laisserait potentiellement les Celtics, et leurs 7 qualifications de rang (depuis 2015), en tête.

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