4 matches, 4 victoires ! C’est le bilan de Frank Vogel à la tête des Pacers.
Le plus jeune entraîneur de la NBA (37 ans) conserve son invincibilité en allant gagnant à Newark face à des Nets d’une médiocrité affolante. On comprend mieux pourquoi Carmelo Anthony n’a pas voulu aller là-bas…
On a failli titrer « Jusqu’au bout de l’ennui… ». Car franchement, c’était une punition de regarder ce match jusqu’au bout. D’un côté des Net sans collectif et sans envie. De l’autre des Pacers sérieux et appliqués. Et il n’y a pas eu match évidemment.
Mike Dunleavy a rapidement mis son équipe sur les bons rails, et hormis un bon passage de Devin Harris dans le troisième quart-temps, on a vu que bleu foncé. De toute façon, il y a des signes qui ne trompent pas. Comme les 8 points de Johan Petro en première mi-temps, ou les 18 pts de Dahntay Jones sur l’ensemble du match.
C’était un match sans âme, ni éclat. Tout juste, on s’est levé de notre siège sur un contre énorme de Johan Petro sur une tentative de dunk de Paul George. C’est bien maigre sur 48 minutes…
Score final : 105-86 pour des Pacers qui terminent avec 6 joueurs à plus de 10 points, et qui ont toujours marqué plus de 100 points depuis la prise de fonction de Vogel. Un joueur nous a encore impressionnés, Paul George. Le rookie d’Indiana a vraiment une palette complète en attaque. Un joueur à suivre dans cette deuxième partie de saison.
Côté New Jersey, seuls Anthony Morrow et Kris Humphries semblent se donner à 100%. Les autres jouent sans vraiment se soucier de leurs coéquipiers. Chacun fait son truc dans son coin. Avery Johnson regrette l’absence d’un leader mais les problèmes des Nets sont bien plus graves que ça.
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