Depuis 2016, le site de la NCAA enregistre sur son site des millions de brackets chaque saison. Ils ne résistent jamais aux premiers jours de la compétition, tant les surprises sont toujours nombreuses. Sauf cette année !
En effet, un homme de 40 ans, neuropsychologue et qui vit dans l’Ohio, enregistre un parfait 48/48 après deux tours – l’ancien record était de 39 bons pronostics. Il lui reste donc 15 matchs pour réussir l’impossible : le bracket parfait.
Encore plus fou, le principal intéressé, Gregg Nigl, n’était même pas au courant qu’il avait composé un tel bracket. Chaque saison depuis « 10 à 15 ans », il imite des millions d’Américains en remplissant un bracket. Cette saison, il en a fait quatre.
La bracketology
« C’est un ami qui m’a invité dans son groupe et comme je le faisais pour m’amuser, j’ai failli ne pas le remplir car j’étais malade le jeudi et je l’ai terminé le matin juste avant la limite, pour faire plaisir à mon ami », explique-t-il. « Ensuite, j’étais au lit, malade. Je n’ai pas regardé les matchs, j’étais épuisé, cloué au lit. »
Forcément, avec de tels résultats, les parieurs du monde entier veulent connaître son secret.
« J’ai toujours suivi la bracketology, j’écoute et je prends note. Ensuite, honnêtement, parfois je choisis l’équipe que je préfère. Il y a des villes, des équipes, des coaches que je préfère. Je regarde les classements aussi. C’est une combinaison d’éléments. Après, il y a beaucoup de chances aussi, je le sais. Je ne vais pas prétendre que je savais le résultat de chaque match. »