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Dwyane Wade explique la « March Madness » version Heat

Depuis maintenant dix ans, le Heat a pris l’habitude de réussir de très bons mois de mars. Pour Dwyane Wade, l’explication se trouve dans la culture de la franchise.

Outre San Antonio ou encore Houston, Miami est sans doute l’équipe en forme du moment en NBA et, historiquement, ce n’est pas une surprise. Goran Dragic le souligne : « Mars, c’est notre mois. À chaque fois qu’on joue bien, c’est toujours ce mois-là. »

Sous Erik Spoelstra, le Heat affiche ainsi un bilan de 111 victoires et 59 défaites en mars, soit 65% de victoires. Il y a donc une vraie différence avec les autres mois de la saison (58%). Mais comment l’expliquer ?

« Peu importe notre effectif, je pense qu’une des clés de notre succès, c’est la régularité », commence Dwyane Wade. « On sait constamment comment jouer et on ne laisse jamais tomber. Il y a quelques années, l’équipe était à 11 victoires après 41 victoires, et Spoelstra n’a pas lâché. Je le connais. Il continue de bosser, avec ses habitudes. »

Et ces dernières finissent par gagner. « Peu importe à quel point vous êtes borné, vous finissiez par entrer dans le moule », poursuit le triple champion. « Pour certaines équipes, c’est plus long. À Miami, c’est toujours mieux à la fin qu’au début, car le système, la culture ne sont pas faciles à apprivoiser. Ça prend du temps. »

Le Heat, un coureur de fond

De plus, la dimension physique est essentielle dans les rangs du Heat. Avec Pat Riley aux commandes et un Erik Spoelstra dans la continuité de l’ancien coach des Lakers et des Knicks, les joueurs de Miami sont parmi les mieux préparés physiquement de toute la ligue. Il faut sans doute donc du temps pour récupérer de cette lourde et exigeante préparation mais elle porte ses fruits en fin d’exercice, quand la fatigue se fait sentir chez les autres.

Sans oublier qu’à ce stade de la saison, plusieurs équipes « tankent » et Miami, qui n’a pas cette culture, en profite pour accumuler les victoires. « On ne parle pas uniquement d’un calendrier de sept mois qu’il faut suivre comme un robot », détaille le coach. « C’est une implication quotidienne. Pour le meilleur ou le pire, on met l’accent là-dessus. On est toujours dans la progression pour voir si les joueurs s’améliorent ou non. Et si ce n’est pas le cas, alors comment faire pour le réussir ? »

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