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Tony Parker a pris goût au tir à 3-points

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Avec 31,9% à trois-points en carrière, Tony Parker n’est pas ce que l’on peut appeler un shooteur longue distance. Très adroit en périphérie et sous le cercle, le meneur français n’a, jusqu’ici, jamais fait du tir derrière l’arc sa spécialité. Depuis le début de saison pourtant, le MVP des finales 2007 a déjà dégainé six fois derrière la ligne pour six conversions.

Certes, l’échantillon reste faible et ne permet pas encore de déterminer une progression concrète à ce niveau mais quand on sait que l’an passé, il a pris moins d’un tir primé par match en moyenne, ce nouvel exercice de style surprend. L’intéressé confirme d’ailleurs qu’il a travaillé la discipline durant l’intersaison.

« Auparavant, je peinais sur mes trois points dans le corner, mais j’ai continué de travailler avec Chip (Engelland, le coach spécialisé dans le tir). J’ai continué de travailler dessus, et je me suis dit que je tenterais ce soir. » a t-il ainsi expliqué à la presse, après le match d’ouverture contre Dallas, durant lequel il s’est fendu d’un 4/4 à longue distance.

Gregg Popovich : « Je ne veux pas non plus qu’il devienne Chris Mullin »

Si Parker a construit sa carrière grâce à une progression impressionnante à mi-distance et un flair inné pour le jeu en pénétration, le système des Spurs fait aussi la part belle aux shooteurs. Un travail sur cette distance de la part du meneur ne peut que bénéficier aux Texans, d’autant que cela permet aussi au Français d’anticiper un déclin athlétique et de prolonger sa carrière dans l’élite. Gregg Popovich se satisfait de cette évolution.

« Chip Engelland travaille dessus avec lui tous les jours. Il tire à cette distance constamment. Les coins sont des endroits où il a commencé à prendre confiance. Je ne veux pas qu’il devienne Chris Mullin, en partant en contre-attaque pour tirer à trois-points toute la soirée, mais quand le ballon circule bien et qu’il est ouvert comme ça, que ses pieds sont en position, nous sommes confiants sur sa réussite. C’est ainsi que Chip travaille. » a détaillé le coach des Spurs à Pounding The Rock.

Le temps dira si la réussite du quadruple champion NBA est pérenne mais si tel est le cas, il parviendra encore à démontrer qu’à 32 ans, il est possible de progresser et il s’imposera définitivement comme l’un des joueurs du championnat les plus difficiles à arrêter.

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