Sur les 30 franchises NBA, seules 10 peuvent encore utiliser leur « amnesty clause », permettant de couper un joueur, afin de récupérer le restant de son contrat pour recruter.
A Chicago, c’est Carlos Boozer qui pourrait en être la victime, lui qui touchera près de 17 millions de dollars en 2014/15. Mais selon ESPN, ce n’est qu’un plan B dans la tête des dirigeants des Bulls.
Selon nos confrères, le plan A serait d’abord de tout faire pour le transférer pour éviter d’en arriver à cette solution extrême. Car, rappelons-le, s’il est coupé via l’amnesty clause, Boozer pourra rejoindre l’une des 29 autres franchises pour un très bas salaire.
Mais qui voudrait de Boozer, un joueur de saison régulière qui disparaît chaque année en playoffs ? Cette année encore, l’ailier-fort des Bulls s’est éteint dans les phases finales, tournant à 9.6 pts, 7.8 rbds à 43% aux tirs, et sans le moindre contre en cinq matches.