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Wiggins, Parker, Randle : gros plan sur les débuts du trio qui fait rêver la NBA

On les annonce comme les trois meilleurs espoirs du basket depuis un certain LeBron James. Rien que ça !

Après la première semaine de compétition, Andrew Wiggins, Jabari Parker et Julius Randle n’ont pas déçu, affolent déjà les compteurs et font encore davantage rêver les GM. Premières impressions sur les trois « Mozart » du championnat universitaire.

ANDREW WIGGINS

Andrew WigginsCommençons par le prodige canadien de Kansas, Andrew Wiggins. Après les deux premiers matchs disputés par les Jayhawks, face à Louisiana-Monroe et Duke, Wiggins tourne à 19,0 points et 5,5 rebonds de moyenne, mais il n’a pour l’heure montré qu’un petit échantillon de son immense potentiel et semble encore en pleine période d’ajustement au style de jeu proposé par Bill Self. Parfois passif sur le parquet en match d’ouverture, il a été limité par les fautes lors du choc face à Duke mardi soir en première période avant de prendre ses responsabilités au retour des vestiaires avec 14 points marqués, dont 6 dans les deux dernières minutes décisives de la partie. S’il n’a pas encore été en mesure de prendre un match à son compte contrairement à ses deux acolytes, il semble en revanche être celui qui en le plus sous la pédale. Ses qualités athlétiques devraient lui permettre de prendre rapidement son envol et de gagner en confiance afin de confirmer son statut de futur numéro un de la Draft.

Points forts : un potentiel hors-norme, des qualités athlétiques surhumaines, présent dans le « money time » face à Duke.

Points faibles : encore en période d’adaptation, parfois pas assez impliqué en défense, doit gagner en confiance.

https://www.youtube.com/watch?v=ZhTaImYwFHc

JABARI PARKER

Jabari ParkerSon grand rival Jabari Parker a quant à lui frappé fort dès ses premiers pas sur les parquets NCAA. Face à Davidson en match d’ouverture, il a pris ses adversaires à la gorge dès l’entame de match et comptait déjà 16 points à la pause avant de terminer avec 22 points et 6 rebonds en seulement vingt-trois minutes de jeu. Il a remis ça mardi soir face à Kansas avec 19 points marqués avant la pause et des actions de grande classe face à l’une des meilleures équipes du championnat. Malheureusement, on ne l’a que trop peu vu au retour des vestiaires et, limité par les fautes, il n’a absolument pas pesé sur la fin de match, contrairement à Wiggins. Mais avec déjà 24,5 points et  7,5 rebonds de moyenne après deux sorties, il est difficile de critiquer le jeu proposé par l’ancienne star de la Simeon Academy de Chicago. S’il parvient à conserver son niveau de jeu tout au long des quarante minutes d’un match, il sera tout simplement inarrêtable.

Points forts : de l’agressivité, un culot monstre, un shoot très fluide, bonnes séquences de jeu balle en main.

Points faibles : a disparu dans les moments clés du match face à Kansas.

https://www.youtube.com/watch?v=Rb-ghooJsBk

JULIUS RANDLE

Julius RandleEnfin, le troisième larron du trio : Julius Randle. Il est sans aucun doute celui qui a été le plus impressionnant après les trois premiers matchs de son équipe de Kentucky. Randle a en effet enchainé les performances de choix et affiche déjà des moyennes de 24,0 points et 14,0 rebonds. Si l’on pouvait attendre un pareil festival face à UNC-Asheville et North Kentucky, deux équipes n’ayant pas les armes pour pouvoir rivaliser avec un joueur aussi physique que Randle, le jeune Wildcat a été tout bonnement excellent face à Michigan State, évitant à lui seule que son équipe ne se prenne une véritable correction.

Avec  27 points et 13 rebonds, il a porté les siens à bout de bras et compensé les errements des autres freshmen de l’équipe comme par exemple les frères Aaron et Andrew Harrison. Randle a clairement remporté son duel face à Adreian Payne, pourtant l’un des meilleurs pivots du pays, le limitant à seulement 3 rebonds en vingt-cinq minutes de jeu. Explosif et doté d’un sens du placement au rebond qui semble inné, Randle semble parti pour devenir une machine à gober les rebonds et à enchaîner les double-double. Le seul bémol reste ses pertes de balles (huit face à Michigan State) et quelques soucis en défense. Mais attention, Randle est clairement en passe de devenir le meilleur joueur du championnat, ni plus ni moins. A lui de marcher sur les traces de ses illustres prédécesseurs dans la raquette des Wildcats comme DeMarcus Cousins, Anthony Davis ou encore Nerlens Noel.

Points forts : un rebondeur hors-pair, un sens du placement inné, des qualités physiques incroyables.

Points faibles : avec un tel niveau de jeu, a-t-il encore de la place pour progresser ?

https://www.youtube.com/watch?v=SdsY62qaCoA

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