Avery Bradley, le trèfle à quatre feuilles des Celtics

Doc Rivers ne voulait pas le voir en sauveur, mais Avery Bradley, depuis son retour, fait beaucoup de bien aux Celtics.

Depuis son premier match perdu contre Memphis le 2 janvier dernier, les Celtics ont gagné 6 matches d’affilée, série en cours. Bradley s’impose donc comme le porte-bonheur Boston en ce début d’année 2013, et alors qu’on le considérait comme un spécialiste défensif, il prouve qu’il est aussi un bon attaquant.

Dernier exemple en date, ses 16 pts contre Charlotte.

« Jeff Green et Courtney Lee et moi, on a des shoots ouverts donc c’est important de les mettre. » explique-t-il à ESPN.

Des points en attaque et une pression constante en défense, et voilà les Celtics revigorés grâce à leur arrière.

« Il est très important pour nous. » rappelle Rajon Rondo. « On sait ce qu’on a quand on a un joueur comme Avery. »

Dans les prochaines semaines, il devrait être encore meilleur offensivement car il va retrouver ses sensations.

« Il a raté beaucoup de matches. Quand on rate des matches, on peut défendre dès son retour. Tout le reste se retrouve avec du timing. Il va avoir des shoots ouverts tous les soirs et on veut qu’il continue de shooter pour que cela rentre. » conclut Doc Rivers.

Depuis son retour de blessure, Bradley tourne à 7.5 pts de moyenne en 23 minutes. Mais son impact sur le jeu ne se traduit pas en statistiques avec sa capacité à défendre sur le meilleur extérieur adverse ou à suppléer Rajon Rondo à la mène.