On retrouve Metta World Peace, la version Jean-Claude Van Damme de Ron Artest.
Toujours interrogé par notre consoeur du LA Times, Melissa Rohlin, l’ailier des Lakers revient sur son rôle de remplaçant.
« N’écoutez pas ce qu’on raconte. Je ne suis pas heureux de sortir du banc. Je suis heureux d’être un Laker. Même si je devais m’occuper des bouteilles d’eau, je serais heureux ici. »
En fait, Metta World Peace est prêt à faire n’importe quel job dans ce club.
« Si je dois marquer des points, ramasser les serviettes et nettoyer le sol, je le ferai. Si je dois cirer les pompes à l’entrée de la salle, puis m’asseoir sur le banc en début de match, je le ferai. »
Mais à quelle place se situe-t-il à Los Angeles ?
« Kobe est le roi, Blake Griffin est le prince. Je suis le serviteur. »
Notre consoeur lui dit alors qu’elle le trouve bien modeste, et que Ron Artest n’aurait jamais dit des choses pareilles.
Réponse de Metta World Peace :
« Artest était différent… »
[videopub https://youtu.be/NTdnuh-hYAc]