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Tom Thibodeau voit des similitudes entre les Knicks 2024 et ceux de 1999

NBA – Le coach des Knicks estime qu’en termes de camaraderie, son équipe fait aussi bien que la formation qui avait enchaîné deux finales de conférence de suite en 1999 et 2000.

Tom ThibodeauPatrick Ewing, Allan Houston, Larry Johnson, Latrell Sprewell, Herb Williams, John Starks, sans oublier Carmelo Anthony ou Stephon Marbury. Le Madison Square Garden était très bien garni lors du Game 5 remporté par l’équipe locale face aux Pacers.

Au coeur de cette belle brochette, on remarque quelques représentants de la dernière grande équipe des Knicks. Celle de la fin des années 1990, qui s’était invitée jusqu’en finale NBA en 1999, perdue face aux Spurs, avant d’échouer l’année suivante face aux Pacers, en finale de conférence.

À l’époque, Jeff Van Gundy était aux commandes, assisté par l’actuel coach de l’équipe, Tom Thibodeau. À l’issue de cette cinquième manche, qui place la formation new-yorkaise à une manche d’un retour en finale de conférence, le technicien est interrogé sur le sujet : faut-il voir des similarités entre les deux formations, séparées de plus de deux décennies ?

« Je dirais la camaraderie et la ténacité. Chaque joueur est différent, chaque équipe est un peu différente, mais je pense que l’engagement des uns envers les autres est similaire. Je crois que la dureté, cet aspect des choses est similaire. Mais on a encore un long chemin à parcourir », juge l’ancien assistant, resté aux Knicks de 1996 à 2003 durant son premier passage.

De la réussite nécessaire

Un long chemin pour égaler des Knicks attendus chaque année à l’époque. « Avec Patrick, John, Larry, Spree et tous ces gars, on avait le sentiment d’avoir une chance de gagner, et on allait loin si on était en bonne santé. Chaque année, on avait le sentiment d’avoir une bonne chance de gagner (le titre) », poursuit ainsi Tom Thibodeau qui, malgré une infirmerie pleine à craquer cette année, fait avancer son équipe.

Le titre ? Comme il le rappelle, il l’a remporté une fois comme assistant avec les Celtics en 2008. « Mais il faut avoir de la réussite. On est allés en finale en 1999 avec deux tirs importants – celui d’Allan contre Miami et l’action à quatre points de Larry contre Indiana. Il faut de la réussite, mais il faut aussi que l’équipe s’engage les uns envers les autres pour y parvenir », juge le coach.

Ce dernier évoquera peut-être plus tard, à tête reposée, le tir de Donte DiVincenzo dans le Game 2 de la série face aux Sixers, comme exemple de cette « réussite » nécessaire. Et comme un signe annonciateur du beau parcours de ses Knicks.

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