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Markquis Nowell ne voulait aller qu’à Toronto

NBA – Non-drafté le mois dernier puis signé dans la foulée par les Raptors par le biais d’un « two-way contract », Markquis Nowell est ravi de démarrer sa carrière professionnelle à Toronto.

Si Markquis Nowell était déjà considéré comme une pointure du circuit universitaire, le grand public l’a surtout découvert au printemps durant la « March Madness », théâtre de son exceptionnel niveau de jeu sous la tunique de Kansas State (moyennes de 23.5 points et 13.5 passes en quatre matchs).

Et la saison prochaine en NBA, c’est à Toronto qu’on pourra continuer à le suivre. Non-drafté le 22 juin, le meneur de 23 ans a en effet rejoint les Raptors dans la foulée en signant un contrat « two-way », qui lui permettra d’alterner entre la NBA et la G-League, avec les Raptors 905 du côté de Mississauga.

Et à en croire le natif d’Harlem, auteur d’une carrière universitaire à 14.8 points, 5.8 passes et 2.2 interceptions par match en cinq saisons, l’Ontario était dans son esprit le seul point de chute envisagé après la Draft.

« La première fois que je me suis entretenu avec les Raptors, c’était durant le processus pré-Draft, au Combine quand on discute avec les franchises. Nous avons discuté de divers sujets, certains liés au basket d’autres non », se rappelle-t-il. « Et d’entrée, j’ai senti que le courant passait. Ils m’ont fait comprendre qu’ils m’appréciaient, et qu’ils essaieraient de faire de moi un Raptor. Donc très vite, c’est seulement à Toronto que je voulais aller. »

Une sorte de coup de foudre entre les deux camps, donc, qui n’ont alors ensuite pas tardé pour concrétiser leur collaboration, dès la Draft terminée. « Je suis heureux d’être là, enfin. », ajoute Markquis Nowell.

Adoubé par les autres « petits » de la ligue

Dans une NBA toujours plus athlétique, l’ancien meneur de Little Rock et Kansas State fera par contre figure de lutin, du haut de son petit 1m73. Rejoignant ainsi une caste de meneurs de petite taille qui ont quand même réussi à se faire une place dans l’impitoyable Grande Ligue, et avec lesquels il a d’ailleurs déjà sympathisé.

« Il y a une fraternité particulière entre nous » confirme-t-il. « Et je passe d’ailleurs le bonjour à Kemba Walker, à DJ Augustin, à Muggsy Bogues et à Jose Alvarado, qui m’ont donné leur force et leur soutien et m’ont donné des conseils pour survivre en NBA en tant que petit meneur. »

Dans son cas, la survie passera avant tout par la défense. Créateur et shooteur doué en NCAA, Markquis Nowell devra en effet sans doute d’abord faire ses preuves sur le plan défensif avant d’espérer davantage de responsabilités de l’autre côté du terrain. Un challenge qui le motive, lui qui s’est illustré à l’université par ses bonnes mains (2.2 interceptions par match sur cinq saisons) et sa mentalité de mort de faim dans sa moitié de terrain.

« La défense, c’est de l’effort et de l’énergie. Il faut en vouloir davantage que le joueur en face de toi qui porte la balle. Quand je défends, je ne me soucie pas de ma taille. J’essaie simplement de rendre la vie misérable à mon adversaire », conclut-il. « J’adore vraiment défendre et gêner mon adversaire. »

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