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Pour Steve Kerr, le secret de Stephen Curry réside dans l’amour du jeu… et de sa routine

NBA – Meilleur joueur des Finals jusqu’à présent, Stephen Curry ne montre aucun signe de faiblesse à 34 ans : il est toujours au sommet de son art.

Actuellement dos à dos avec les Celtics dans leur sixième finale NBA en huit ans, les Warriors ont la possibilité d’aller chercher un quatrième titre depuis 2015. Et la raison majeure a un nom : Stephen Curry.

Avec 34.3 points à 50% de réussite dont 49% à 3-points (plus 6.3 rebonds et 3.8 passes) de moyenne sur la série en cours, la superstar de Golden State rayonne. Sa dernière sortie monumentale à 43 points (et 10 rebonds) a confirmé qu’il était encore au sommet de son art, sept ans après son premier titre de MVP !

Ce n’est pas une surprise pour Steve Kerr qui le côtoie maintenant depuis quasiment une décennie, depuis 2014 quand il a pris ses fonctions à la tête des Dubs.

« La constance de sa routine, il est comme un métronome », apprécie Steve Kerr pour NBC Sports. « Chaque jour, il fait exactement la même chose. Il est à la salle d’échauffement, à la salle de musculation, sur le terrain. Il est réglé comme une horloge, mais il y a tout de même un sentiment de joie et d’énergie au sein de cette routine. Il adore ça ! Il adore cette préparation. »

Pour Steve Kerr qui a notamment évolué aux côtés de très grands joueurs, dont évidemment Michael Jordan mais aussi Scottie Pippen, Dennis Rodman, David Robinson ou encore Tim Duncan, Stephen Curry fait forcément partie des immenses champions de son sport. Son secret ? Sa passion.

« Je pense que c’est ce qui lie tous les grands athlètes de l’histoire, et je parle des plus grands. Comme les Roger Federer, les Steph Curry. Il y a une routine très disciplinée mais une discipline vraiment appréciée au quotidien. Mais il faut avoir la passion qui va avec. C’est ce qui permet de tenir si longtemps sur la durée. Quand tu aimes un truc comme eux, tu vas y travailler et t’améliorer et simplement continuer à le faire. »

« C’est ce qu’il y a de plus dur à faire dans notre métier »

Tombé dans la marmite dès son plus jeune âge, avec de nombreuses images d’archives qui le montrent avec son frère Seth sur le parquet des Raptors quand le papa Dell y évoluait au tournant de l’an 2000, Stephen Curry a toujours été un stakhanoviste des parquets.

« Ça remonte à mes débuts dans les basket quand je jouais encore en AAU », ajoute Stephen Curry. « J’adore bosser mon jeu. Tu peux te perdre dans ces sessions d’entraînement sur le terrain, en musculation ou peu importe ce que c’est parce que ça va t’amener à être le plus préparé possible pour les matchs. »

Bosseur invétéré, Stephen Curry est petit à petit parvenu à se renforcer musculairement et physiquement pour devenir un, sinon le, joueur le plus en forme de la Ligue.

Avec ses mouvements incessants et sa capacité à encaisser les prises à deux (ou plus), il est un vrai poison pour les défenses adverses, précisément parce qu’il ne s’arrête jamais… Comme à l’entraînement !

« J’essaye de prendre autant de plaisir que possible. Que ce soit les jours où tu veux te lever et faire le travail, ou les jours où tu ne veux pas, ou les jours où tu es fatigué. Tout ça est construit sur mon approche à mes débuts, que j’ai essayé de poursuivre chaque année, et aussi longtemps que je pourrai. »

Dans sa 13e saison, déjà, Stephen Curry ne semble pas montrer de signes de faiblesse. Son jeu avant tout basé sur le tir extérieur devrait pouvoir lui offrir encore quelques belles années. Mais son amour pour le travail de l’ombre, répétitif et forcément rébarbatif, aussi.

« Que tu gagnes ou que tu perdes, tu devras toujours revenir à la source pour travailler et continuer à fourbir tes armes pour faire évoluer ton jeu », conclut-il. « C’est ce qu’il y a de plus dur à faire dans notre métier. Quand tu es sur le terrain, tout est question de réaction et il s’agit en gros de vivre la compétition. Mais le plus dur est la longue préparation monotone qu’il faut faire pour arriver à ce niveau. »

Stephen Curry Pourcentage Rebonds
Saison Equipe MJ Min Tirs 3pts LF Off Def Tot Pd Fte Int Bp Ct Pts
2009-10 GOS 80 36 46.2 43.7 88.5 0.6 3.9 4.5 5.9 3.1 1.9 3.0 0.2 17.5
2010-11 GOS 74 34 48.0 44.2 93.4 0.7 3.2 3.9 5.8 3.1 1.5 3.1 0.3 18.6
2011-12 GOS 26 28 49.0 45.5 80.9 0.6 2.8 3.4 5.3 2.4 1.5 2.5 0.3 14.7
2012-13 GOS 78 38 45.1 45.3 90.0 0.8 3.3 4.0 6.9 2.5 1.6 3.1 0.2 22.9
2013-14 GOS 78 37 47.1 42.4 88.5 0.6 3.7 4.3 8.5 2.5 1.6 3.8 0.2 24.0
2014-15 GOS 80 33 48.7 44.3 91.4 0.7 3.6 4.3 7.7 2.0 2.0 3.1 0.2 23.8
2015-16 GOS 79 34 50.4 45.4 90.8 0.9 4.6 5.4 6.7 2.0 2.1 3.3 0.2 30.1
2016-17 GOS 79 33 46.8 41.1 89.8 0.8 3.7 4.5 6.6 2.3 1.8 3.0 0.2 25.3
2017-18 GOS 51 32 49.5 42.3 92.1 0.7 4.4 5.1 6.1 2.2 1.6 3.0 0.2 26.4
2018-19 GOS 69 34 47.2 43.7 91.6 0.7 4.7 5.3 5.2 2.4 1.3 2.8 0.4 27.3
2019-20 GOS 5 28 40.2 24.5 100.0 0.8 4.4 5.2 6.6 2.2 1.0 3.2 0.4 20.8
2020-21 GOS 63 34 48.2 42.1 91.6 0.5 5.0 5.5 5.8 1.9 1.2 3.4 0.1 32.0
2021-22 GOS 64 35 43.7 38.0 92.3 0.5 4.7 5.2 6.3 2.0 1.3 3.2 0.4 25.5
2022-23 GOS 56 35 49.3 42.7 91.5 0.7 5.4 6.1 6.3 2.1 0.9 3.2 0.4 29.4
2023-24 GOS 74 33 45.0 40.8 92.3 0.5 4.0 4.5 5.1 1.6 0.7 2.8 0.4 26.4
2024-25 GOS 70 32 44.8 39.7 93.3 0.6 3.9 4.4 6.0 1.4 1.1 2.9 0.4 24.5

Comment lire les stats ? MJ = matches joués ; Min = Minutes ; Tirs = Tirs réussis / Tirs tentés ; 3pts = 3-points / 3-points tentés ; LF = lancers-francs réussis / lancers-francs tentés ; Off = rebond offensif ; Def= rebond défensif ; Tot = Total des rebonds ; Pd = passes décisives ; Fte : Fautes personnelles ; Int = Interceptions ; Bp = Balles perdues ; Ct : Contres ; Pts = Points.

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