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Pour Draymond Green, le MVP, c’est Stephen Curry

NBA – Golden State va disputer le « play-in » après avoir terminé lanterne rouge la saison passée. D’après Draymond Green, c’est en grande partie grâce à son meneur de jeu, la définition d’un MVP.

Très bavard sur les parquets pour parler à ses coéquipiers ou aux arbitres, Draymond Green l’est également dès qu’il s’agit d’évoquer Stephen Curry et notamment les performances du double MVP cette saison.

L’intérieur des Warriors est sous le charme, autant du niveau de son coéquipier que de son attitude.

« La réalité, c’est qu’on a une équipe très jeune et inexpérimentée », commence-t-il pour The Athletic. « La plupart des stars, dans la même position que Curry, seraient très en colère et iraient dans les médias se plaindre du manque de vétérans, qui plombe les chances de gagner le titre. Un joueur qui vit ses meilleures années se serait plaint. Mais on n’a rien entendu de sa part. Cela prouve son caractère et son leadership. Peu importe la situation, il donne la meilleure version de lui-même. La quantité de travail qu’il a effectuée chaque jour, c’est incroyable. Oui, les shoots tombent dedans, mais c’est son approche, selon moi, qui est la plus belle chose à regarder cette saison. »

Actuellement meilleur marqueur de la ligue avec 31.8 points par match, Stephen Curry réalise une de ses meilleures saisons en carrière. Sa plus prolifique en tout cas, avec sa meilleure moyenne de points donc mais aussi 5.3 tirs primés réussis par match, nouveau record personnel.

« Avec ce qu’il réalise, on est passé de 15 victoires à une possible place en playoffs »

De quoi en faire le « Most Valuable Player » au sens propre de la saison pour Draymond Green, même devant Nikola Jokic qui a lui aussi d’énormes statistiques à son compteur et surtout un meilleur bilan collectif avec Denver. Car sans lui, Golden State n’a pas du tout le même visage, comme on a pu le constater en 2019/20.

« Il est le MVP. Le Joker réalise une superbe année, il est incroyable et son équipe fait une grosse saison, surtout qu’il maintient les Nuggets à flot après la blessure de Jamal Murray, donc il faut le souligner. Mais on a tous vu les Warriors la saison passée (15 victoires et 50 défaites, Curry avait joué cinq matches) : c’était vraiment dur. L’effectif n’a pas beaucoup évolué par rapport à l’an passé et on est à 37-33. Pourquoi ? Parce que Curry est là. Le MVP, c’est le Most Valuable Player (le joueur le plus utile/précieux). Parfois, on y voit celui qui marque le plus ou fait les meilleures statistiques. Oui, Curry est le meilleur marqueur, mais il faut voir sa valeur. Avec ce qu’il réalise, on est passé de 15 victoires à une possible place en playoffs. »

Pour appuyer sa démonstration et ses arguments, l’ancien défenseur de l’année prend un exemple récent parmi les anciens vainqueurs du plus prestigieux des trophées individuels de la ligue.

« Si je ne me trompe pas, Russell Westbrook a été élu MVP et le Thunder n’était que septième ou huitième de l’Ouest (6e en réalité, avec 47 victoires et 35 défaites en 2017). Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas de règles qui empêchent d’être MVP en étant septième ou huitième de sa conférence. Westbrook l’a fait et il le méritait à l’époque. Cette équipe d’Oklahoma City était merdique. En triple-double de moyenne, il les a portés vers les playoffs. Il était tellement important pour cette équipe, voilà pourquoi il méritait d’être MVP. »

MVP ou non, Stephen Curry aura surtout été le moteur des Warriors. Ses coéquipiers n’ont eu qu’à suivre le triple champion sur son nuage. Draymond Green le premier.

« Avoir un Stephen à ce niveau, ça permet aux jeunes d’avoir quelque chose à suivre, et d’avoir du temps et de la confiance pour grandir. Il donne tout ce qu’il a et je veux être le dernier à le laisser tomber. Je serai toujours loyal envers Stephen. Quand on le voit soir après soir essayer de porter l’équipe, on se doit d’élever notre niveau et de tout donner également. Donc son approche m’a aidé à 100% dans la mienne. »

Tirs Rebonds
Joueurs MJ Min Tirs 3pts LF Off Def Tot Pd Bp Int Ct Fte Pts
Stephen Curry 70 32.2 44.8 39.7 93.3 0.6 3.9 4.4 6.0 2.9 1.1 0.4 1.4 24.5
Jimmy Butler Iii 30 32.7 47.6 27.9 87.0 2.3 3.2 5.5 5.9 1.5 1.7 0.3 1.0 17.9
Andrew Wiggins 43 30.1 44.4 37.9 77.7 1.5 3.0 4.6 2.4 1.3 0.9 0.8 1.6 17.6
Jonathan Kuminga 47 24.3 45.4 30.5 66.8 1.2 3.4 4.6 2.2 1.5 0.8 0.4 1.9 15.3
Brandin Podziemski 64 26.8 44.5 37.2 75.8 1.0 4.1 5.1 3.4 1.2 1.1 0.2 1.5 11.7
Buddy Hield 82 22.7 41.7 37.0 82.8 0.6 2.6 3.2 1.6 1.1 0.8 0.3 1.6 11.1
Dennis Schroder 24 26.2 37.5 32.2 74.4 0.4 1.9 2.3 4.4 2.0 1.0 0.1 2.8 10.6
De'anthony Melton 6 20.2 40.7 37.1 62.5 1.0 2.3 3.3 2.8 1.7 1.2 0.3 3.0 10.3
Moses Moody 74 22.3 43.3 37.4 79.7 0.7 1.9 2.6 1.3 0.7 0.8 0.4 1.6 9.8
Draymond Green 68 29.2 42.4 32.5 68.7 1.1 5.0 6.1 5.6 2.6 1.5 1.0 3.2 9.0
Quinten Post 42 16.3 44.9 40.8 77.8 0.8 2.7 3.5 1.3 0.8 0.4 0.4 2.0 8.1
Trayce Jackson-davis 62 15.6 57.6 0.0 57.8 2.0 3.0 5.0 1.7 0.7 0.4 0.6 1.2 6.6
Gary Payton Ii 62 15.0 57.4 32.6 71.1 0.9 2.1 3.0 1.3 0.6 0.8 0.3 1.7 6.5
Lindy Waters Iii 38 17.2 37.1 33.1 72.7 0.4 2.1 2.5 1.1 0.4 0.6 0.3 1.4 5.5
Kyle Anderson 36 15.0 45.0 36.5 66.7 0.8 2.3 3.1 2.3 0.6 0.7 0.6 1.1 5.3
Kevon Looney 76 15.0 51.4 40.0 56.6 2.4 3.6 6.1 1.6 0.5 0.6 0.5 2.0 4.5
Gui Santos 56 13.6 45.8 33.0 69.0 1.3 1.8 3.1 1.4 0.8 0.4 0.2 1.6 4.1
Jackson Rowe 6 8.6 47.1 30.0 50.0 0.5 1.3 1.8 0.7 0.2 0.7 0.0 0.7 3.7
Kevin Knox Ii 14 6.0 50.0 26.7 75.0 0.5 0.7 1.2 0.4 0.3 0.1 0.3 0.4 3.3
Pat Spencer 39 6.4 40.6 22.7 73.3 0.4 0.8 1.2 1.2 0.5 0.4 0.1 0.5 2.5
Yuri Collins 2 8.2 33.3 0.0 0.0 1.0 0.5 1.5 2.0 0.0 1.0 0.0 2.5 1.0
Reece Beekman 2 2.0 100.0 0.0 0.0 0.5 0.0 0.5 0.5 0.0 0.5 0.0 0.5 1.0
Braxton Key 3 3.6 0.0 0.0 50.0 0.3 0.3 0.7 0.0 0.3 0.7 0.0 0.0 1.0

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