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Lonzo Ball présente ses cinq adversaires les plus coriaces

Parmi les bons défenseurs de sa génération et à son poste, Lonzo Ball a pris le temps de décrire ses adversaires les plus difficiles en un-contre-un.

C’est dans le cadre de « 5 Toughest », une série d’articles où les athlètes analysent le jeu de leurs homologues pour The Player’s Tribune, que Lonzo Ball s’est confié sur les adversaires les plus redoutables qu’il ait jamais rencontrés.

Évidemment, le meneur des Pelicans a évidemment une pensée pour son père, Lavar, le mentor de ses premières foulées : « Il n’avait pas de tir, pas de dribble. Il était tout en force et en taille. Peu importe que j’ai 9, 12 ou 15 ans, il me postait et me chambrait sur mon incapacité à l’arrêter ». Il a cependant rencontré bien d’autres adversaires depuis et les cinq qu’il a choisis ne sont, au bout du compte, guère étonnants.

« Je vais commencer avec Dame [Lillard] car c’est un tueur », écrit l’ancien Laker. « Il peut shooter du milieu du terrain et vous devez donc bien le prendre dès qu’il passe la ligne (…) La seule chose que vous pouvez faire est d’essayer de monter sur lui, couper ses angles pour qu’il ne puisse pas utiliser tout cet espace pour shooter. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Il tire trop rapidement, de trop loin ». 

« On peut dire que Damian Lillard pense être le meilleur meneur »

S’il évoque également ses qualités de passeur et de finisseur au cercle, c’est avant tout l’état d’esprit du Blazer qui le frappe. « Il a ce chien en lui. Il joue avec ce sentiment de revanche. Il est sorti d’une petite fac et a dû faire ses preuves, et même maintenant qu’il les a faites, il est toujours chaque soir sur le terrain à s’assurer que tout le monde le sache. Vu comment il joue, on peut dire qu’il pense être le meilleur meneur de la ligue. »

Actuel meilleur scoreur de la ligue avec 39.2 points par match, James Harden est également loué par le deuxième choix de la Draft 2017. « Son stepback est peut-être le mouvement le plus difficile à arrêter de la ligue. Avec James, ce sera soit un tir, soit une faute. Il vous nargue presque en tenant la balle devant, comme s’il vous défiait de la prendre. Et dès que vous essayez de l’atteindre, soit il vous frappe d’un stepback quand vous vous penchez, soit il vous laisse lui rentrer dedans pour avoir la faute. Il est à ce point malin. » 

Le Pelican a également une pensée pour Kyrie Irving, qu’il considère avoir « le meilleur dribbleur de la ligue » et un jeu trop imprévisible pour ses opposants.

« On ne peut pas forcer Kyrie à faire ce que vous voulez qu’il fasse », poursuit Lonzo Ball. « Entre son crossover, qui est probablement le plus inarrêtable de la ligue, et sa vitesse, il est mortel. Il peut aller à gauche, à droite, il peut reculer ou pénétrer devant vous. Il a juste trop de moyens différents d’aller où il veut (…) Vous pouvez juste essayer de contester son tir du mieux possible. » 

DeMar DeRozan « annonçait ses mouvements avant de les faire »

S’il est rarement opposé directement à lui, Lonzo Ball est tout aussi, sinon plus, impressionné par Kevin Durant. L’ancien joueur des Warriors est selon lui la véritable arme fatale de la ligue, dans son top 5 des joueurs de un-contre-un dans l’histoire avec « T-Mac, MJ, Kobe et A.I ».

« Avoir cette taille tout en ayant cette palette d’arrière est tout simplement dingue », reconnait le Californien. « Je dirai que la seule chose que KD n’a pas est une puissance de tout premier plan. Donc lorsque vous jouez contre lui, vous devez être physique et rester sur lui. Et vous devez l’accompagner au-dessus de chaque écran car vous savez que ses coéquipiers vont essayer de le faire tirer. Mais même si vous restez droit devant son torse, il fait 2m13 et il shootera au-dessus de vous dès qu’il le désire. Donc… qu’est-ce que vous pouvez faire ? » 

Enfin, le meneur a une pensée pour un autre natif de Californie avec DeMar DeRozan, un de ses premiers cauchemars pros. « Je le respecte énormément, évidemment parce qu’il est de Los Angeles mais aussi parce que la première fois que j’ai foulé un parquet NBA après avoir été drafté, c’était contre DeMar. C’était durant l’intersaison et nous étions au centre d’entraînement des Lakers avant même que le camp ne commence. Il y avait un paquet de gars qui s’entraînaient à L.A et nous avons fait un cinq-contre-cinq. Ils m’ont collé sur Demar. »

Le début d’une grosse déconvenue pour l’ancienne star de UCLA.

« Je ne blague pas. Ce gars était en train d’annoncer ses mouvements avant même de les faire. À droite. À gauche. Fadeaway. Stepback. Spin. Turnaround. Et il n’arrêtait pas de planter les tirs. Comme une machine. Il n’y avait rien que je puisse faire. Il a dû me mettre 40 points ce jour. C’était vraiment mon « Bienvenue en NBA » à moi. De tous les gars dans cette ligue, je dois respecter DeMar DeRozan, car il est le premier à m’avoir montré le niveau dont j’avais besoin pour jouer dans cette ligue. C’est quelque chose que je n’oublierai jamais. » 

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