Pré
saison
Pré
saison
IND42
MEM50
ATL17
PHI12
BRO21
WAS16
MIL
CHI2:00
LAC
DAL4:30
Pariez en ligne avec Unibet
  • BOS1.44NEW2.45Pariez
  • LOS1.94MIN1.71Pariez
  • 100€ offertsLa suite →

Larry Bird veut booster le mental de ses Pacers

L’ancienne légende des Celtics est depuis plusieurs années dirigeant des Pacers, et il attend de ses joueurs qu’ils gagnent le combat mental. C’était sa spécialité.

Conseiller de la direction des Pacers, Larry Bird est évidemment un spectateur avisé de la série entre Boston et Indiana. Il avait d’ailleurs fait le déplacement dans le Massachusetts pour les deux premiers matches, mais ne comptez pas sur lui pour interférer avec le travail de Nate McMillan.

« Je ne dis rien. Nos coaches maitrisent ça » répond-il à ESPN, en évoquant le coup de bambou de la fin du Game 2. « Quand on s’effondre, il faut rester soudés. On ne peut pas s’en prendre aux arbitres. Il faut revenir quand on rate un tir. Chaque possession est tellement importante en playoffs. Ils sont bien coachés, et quand ils perdent, ils se battent à nouveau et ils trouvent un moyen de gagner. C’est notre personnalité. »

Les lancers-francs, le point faible de l’équipe

Larry Bird n’est donc pas inquiet pour la suite de la série, et il est même très fier de ses joueurs pour leur saison. « Evidemment, quand Victor s’est blessé, tout a changé. Avec lui, je pensais qu’on serait capable de gagner le même nombre de matchs que l’an passé, et même sans lui, on y est parvenu » souligne-t-il. « Leur manière de se remobiliser était remarquable. Le président Kevin Pritchard et le coach Nate McMillan ont fait du super boulot avec eux. »

Voilà pourquoi, ce soir, il s’attend à une réaction des coéquipiers de Myles Turner, à condition d’être efficace dans un secteur : les lancers-francs. « La priorité, c’est d’être fort mentalement. J’ai dit à Kevin (Pritchard) avant la série, que les lancers-francs allaient provoquer notre chute. Si un gars en manque, tout le monde va en manquer. »

On le sait, les lancers-francs, c’est une question de mental. Il faut résister à la pression, et faire le vide au moment de les shooter. C’est pourtant le tir le plus facile, sans défense. « La dureté mentale, c’est ce qui sépare les grands joueurs des autres » conclut Larry Bird, capable en son temps de flinguer le moral d’un adversaire rien qu’en lui parlant.

Suivez toute l'actualité NBA sur la chaîne WhatsApp de Basket USA

Suivez nous également sur Google Actualités

Tags →
Commentaires
Forum (et HS)  |   +  |   Règles et contenus illicites  |   0 commentaire Afficher les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *