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Le Heat totalement conscient de ne pas « assez bien jouer » ces derniers temps

« On ne joue pas assez bien pour gagner ».

Le constat de Dwyane Wade est aussi limpide que difficile à admettre après la huitième défaite en dix matchs du Heat, la nuit dernière, à domicile face aux Hawks. Certes, Miami n’est pas passé loin de la victoire – à un 3-points de Josh Richardson à la dernière seconde – mais l’équipe sait qu’elle n’a pas le niveau en ce moment pour jouer à la hauteur de ses attentes.

« On doit pouvoir être compétitif pendant 48 minutes et je ne crois pas qu’on l’ait été » regrette Josh Richardson dans les colonnes du Sun Sentinel.

Il n’y a qu’à prendre le « money time » d’hier soir, où Miami s’est offert une chance avec deux paniers dans la dernière minute, mais avait encaissé un 7-0 juste avant sur quelques minutes d’absence, sans doute fatigué par son comeback de 10 points dans la première moitié du dernier quart.

L’absence de Goran Dragic se fait sentir

Un problème lié, en bonne partie, à l’absence de Goran Dragic, principal créateur local, qui a manqué hier son cinquième match. C’est préjudiciable pour mettre des points mais aussi garder le ballon, sachant que Miami a tendance à en perdre pas mal (22e de la ligue), ce qui plombe l’équipe – qui doit déjà faire sans Tyler Johnson et Dion Waiters.

« On ne peut pas attaquer comme on veut si on perd la balle, rappelle Erik Spoelstra. « C’est tout en haut de la liste des choses qui nous font du mal. »

On a pu sentir l’absence de patron en fin de match la nuit dernière, y compris sur la dernière action, le Heat n’ayant personne pour prendre les choses en mains. Pourtant, Erik Spoelstra préfère minimiser l’absence du Slovène.

« Justise, Dwyane, JJ, J-Rich, ce sont des gars qui peuvent lancer tes attaques. C’était plus dur quand ils n’étaient pas là, c’est dur quand Goran n’est pas là. Mais on a le sentiment de ne pas avoir de postes prédéfinis. »

Il faudra pourtant que quelqu’un enfile le costume de « go-to-guy » pour espérer sortir de cette spirale négative. Erik Spoelstra y croit en tout cas, et pense que ses hommes en sortiront plus fort.

« C’est la NBA. Si tu t’attends à ce que ce soit facile, tu es mal barré. Ce n’est pas idéal, mais en même temps c’est dans ces moments-là que tu développes ton caractère.

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