James Harden et Clint Capela au repos ? Aucun problème pour les Rockets. Face à des Bulls en roue libre, les Texans ont assuré (118-96), s’imposant très largement derrière les 31 points d’Eric Gordon à 8/13 derrière la ligne à 3-points.
De retour, Lauri Markkanen (22 points, 4 rebonds) a été le seul titulaire de Chicago à surnager dans la rencontre.
Car il n’a pas fallu longtemps aux hommes de Mike D’Antoni avant de prendre le contrôle de la rencontre. Il y a déjà 14-5 après trois minutes mais le rookie finlandais ramène un temps les siens, avant que la machine texane ne se mette réellement en route. Eric Gordon fait feu de tout bois à 3-points et il y a déjà 21 points d’écart (60-31) à la pause.
Pire, les Rockets démarrent le troisième quart-temps par un 16-2 qui transforme les vingt dernières minutes de la rencontre en un gigantesque « garbage time ». Pour Houston, l’essentiel dans cette 61e victoire de la saison était de rester concentré.
« L’important, c’est l’énergie et le fait de jouer à un haut niveau tous les soirs, peu importe l’adversaire, parce que c’est juste sympa d’être avec ces gars », assure Eric Gordon. « La plupart des équipes ne sont pas vraiment intéressées lors des rencontres face à celles qui ne sont pas en playoffs mais nous gardons de notre côté toujours la pédale sur l’accélérateur. »
De quoi faire dire à Fred Hoiberg que les Rockets sont « sympa à regarder, mais pas à affronter »…