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En attendant la reprise : la NBA de A à Z

Alors que la saison débute cette nuit avec un très alléchant Boston-Miami, petit tour d’horizon de ce qu’on aime dans la NBA, ce qui nous a manqué et ce qu’on espère retrouver à nouveau cette saison. C’est la NBA de A à Z. Et on n’a oublié aucune lettre.

A comme Argent

« NBA is business ». Voilà ce que répètent les joueurs à chaque transfert et rumeur d’échange. Au fond, ils n’ont pas tort. Le basket américain draine des millions et des millions de dollars en publicités, tickets et autres droits télévisuels… Si le fan a tendance à l’oublier, certains mouvements de joueurs, uniquement motivés par le besoin d’économiser, sont là pour lui rappeler.

B comme Boston

Paul Pierce, Ray Allen, Kevin Garnett, Shaquille O’Neal, Jermaine O’Neal… Si cette équipe s’était formée il y a 5 ans, elle aurait tout écrasé sur son passage, à commencer par le compte en banque des propriétaires. Les légendes ont vieilli mais le talent est toujours là. Du coup, Boston apparait comme un très sérieux prétendant au trophée final.

C comme Carmelo

Si son transfert ne se règle pas rapidement, le feuilleton Carmelo Anthony risque de devenir le fil rouge de la saison. Les rumeurs vont continuer à affluer du côté de Denver, ce qui n’est jamais bon pour une équipe. Une chose est certaine : il veut partir. Reste désormais à lui trouver un point de chute acceptable.

D comme Durant

Le futur lui appartient. Meilleur marqueur l’an passé, auteur d’un fabuleux championnat du monde, son caractère lui permet également de prétendre au titre de prochaine icône de la NBA. Il doit désormais assumer son statut de superstar. Les dirigeants du Thunder ont construit une équipe solide et talentueuse. Peut-elle prendre son envol dès cette saison ?

E comme Equipe

Les stars, les superstars, les scoreurs. Oui, il en faut. Mais un titre se remporte avant tout grâce à un collectif et un équilibre. C’est toujours le plus compliqué à créer. Ca prend du temps, c’est parfois douloureux mais il faut en passer par là. Dépasser son propre ego, faire confiance à ses coéquipiers : tant d’étapes qui mènent au sommet.

F comme Frissons

Voilà ce que les fans attendent. Oh, bien sûr, ils ne seront pas au rendez-vous à chaque match. Mais quel autre sport peut nous surprendre et nous émerveiller sur chaque action ? Nous faire passer par tous les états émotionnels en moins de 20 secondes ? Et l’explosion de joie des fans lors d’une victoire ou le silence glacé qui emplit une salle lors d’une défaite sont indescriptibles.

G comme Grève

Il faut profiter de cette année, d’autant qu’elle s’annonce exceptionnelle. L’année prochaine risque en effet d’être marquée par une grève des joueurs quant au nouveau contrat les liant à la ligue. En Europe ou ailleurs, il y aura toujours du basket. Mais la NBA pourrait bien s’arrêter durant quelques mois.

H comme Howard

Dwight Howard a-t-il bien pris ses leçons aux côtés d’Hakeem Olajuwon ? Si oui, cela risque de devenir effrayant. Avec sa puissance, et sans véritables moves offensifs, il était déjà le meilleur pivot de la ligue. Avec un arsenal d’attaque, il pourrait faire très, très peur. Orlando, qu’on a un peu oublié cet été, doit en profiter.

I comme Icare

Qui va se brûler les ailes ? Qui va décevoir ? Impossible de le dire en début de saison, période où les fans de chaque équipe sont pleins d’espoir. Les promesses sont belles partout et, même si la présaison a donné quelques indications, tout peut toujours changer.

J comme James

LeBron James. Le plus médiatisé, discuté et disputé des joueurs NBA. En dehors des parquets, son cas et ses choix font débat. Sur le terrain, il n’y a rien à discuter. James est un phénomène athlétique qui peut dominer un match à lui seul. Il lui faut désormais un titre pour asseoir sa légende et prouver qu’il a également des qualités de leader. A lui de jouer.

K comme Kobe

Encore en rémission, Kobe Bryant soigne son genou. L’Ouest s’est un peu dégarni cet été et la concurrence risque d’être moins rude pour les Lakers. Il peut donc prendre son temps pour revenir à son meilleur niveau. Avec l’armada autour de lui, il sait qu’il peut déléguer. Pau Gasol lui a appris la confiance en ses coéquipiers. Nul doute, il sera là pour les playoffs.

L comme Los Angeles

Deux équipes : les Lakers, toujours parmi les favoris pour le titre. Et les Clippers, franchise maudite, éternelle perdante dont on attend sans cesse le réveil. Est-il possible que celui-ci ait enfin lieu cette saison ? Blake Griffin a apporté beaucoup d’espérances aux fans. On espère qu’au moins une partie d’entre elles seront réalisées.

M comme Miami

On en a tellement parlé. Il y a tellement de hype, tellement de déclarations et tellement d’avis divergents qu’il est bien difficile d’en ressortir quelque chose de cohérent. Oui, Miami aligne trois des meilleurs joueurs actuels (Wade, James, Bosh). Oui, Pat Riley a fait une croix sur les cinq prochaines drafts et sur toute mobilité financière. Mais le futur reste à écrire.

N comme New-York

La Mecque du basket réclame une équipe depuis des années. Donnie Walsh a nettoyé les erreurs d’Isiah Thomas et engagé Amar’e Stoudemire. C’est encore insuffisant. Pourtant, les Knicks attirent et fascinent toujours. Les stars veulent y jouer, les New-Yorkais veulent les voir et le Madison Square Garden est un fabuleux théâtre.

O comme Orlando

Une présaison parfaite est venue rappeler à tous qu’Orlando sort de deux belles saisons. Toujours placée, jamais gagnante, la franchise peut s’appuyer sur le meilleur pivot actuel et sur un effectif riche et complet. Le club inaugure en plus une salle flambant neuve et se rêve en trouble-fête à l’Est. Il en a largement les moyens.

P comme Playoffs

Tout s’y joue, tout s’y perd. On les a toujours dans un coin de la tête et cet espace grandit au fur et à mesure que la saison avance. Les séries en 4 matchs gagnants rendent l’enjeu encore plus intéressant. C’est là, dans ces matchs à mort, que les légendes se sont bâties. Chaque génération a eu les siennes. A nous d’apercevoir les nôtres.

Q comme Q Arena

La salle de Cleveland va sans doute paraitre vide. On attend de voir ce que cette équipe peut donner sans LeBron James. Les fans seront-ils toujours aussi brûlants ? Ils ont promis que oui. Avec eux, ce sont à tous les fans des petits et moyens marchés qu’il faut penser. Leurs équipes se battent rarement pour le titre. Mais être supporter, c’est une fièvre dont on ne guérit jamais.

R comme Rookie

Qui de Blake Griffin ou John Wall sera rookie de l’année ? Les deux ont tellement impressionné en présaison qu’ils semblent avoir toutes les faveurs des suffrages. On n’oubliera quand même pas DeMarcus Cousins, Evan Turner, Derrick Favors, Wesley Johnson et tous les autres. Chaque année, ce sang neuf fait plaisir à voir. Et la cuvée actuelle est sans conteste extrêmement prometteuse.

S comme Surprise

Comme les déceptions, les surprises sont, par définition, impossibles à prédire. Les Blazers, une fois en forme, peuvent-ils faire quelque chose ? Les Kings, très jeunes, peuvent-ils accrocher les playoffs ? Les Bucks, renforcés, ont-ils une chance à l’Est ? Tant et tant de questions qui se posent et dont les réponses s’esquisseront au fil des semaines.

T comme Titre

C’est le but ultime, le Graal de tout basketteur NBA. Les Lakers ont ravi les deux derniers trophées. Est-ce que, comme il est de tradition chez Phil Jackson, ils réussiront la passe de trois ? Est-ce qu’une autre équipe viendra le prendre à son tour ? En y pensant, on trépigne déjà d’impatience à quelques heures du coup d’envoi.

U comme Un

Un seul vainqueur, un seul trophée, 29 perdants. La loi est dure mais elle est ainsi faite. Il est extrêmement difficile de remporter un titre NBA. Toutes les équipes se battent pendant 8 mois et une seule parvient finalement au but, engendrant joie et bonheur, mais aussi déception et frustration.

V comme Vitalité

La bonne santé est une chose cruciale en NBA. La blessure d’un joueur majeur à un instant critique, et c’est tout le château de carte qui s’effondre, même s’il a fallu des années pour le construire. La réussite est aussi là, dans le fait de pouvoir garder ses joueurs importants en bonne santé, en gérant ses vétérans. Cornélien.

W comme Wild Wild West

L’Est s’est renforcé, c’est indéniable. Mais, à l’Ouest, il y a toujours 10 ou 12 équipes qui peuvent jouer les playoffs. Chaque soir, il faut repartir au combat et aucune faute d’inattention n’est permise. L’Ouest demeure une vraie jungle où il est très compliqué de survivre.

X comme Facteur X

Il en faut un. Le joueur inattendu qui va faire gagner le match alors que l’on attendait la star. Qu’ils s’appellent Ron Artest, James Posey ou Trevor Ariza, ils sont toujours là, décisifs. Dans 10 ou 15 ans, on les aura peut-être oubliés à force de rabâcher le nom de ceux qui, plus constants, ont attiré les projecteurs. Mais les spectateurs actuels savent à quel point ils ont été précieux.

Y comme Yao

Le géant chinois est en fin de contrat. Il peut désormais jouer. Après une si longue absence, il sera tout de même limité dans son temps de jeu. A Houston, il peut apporter un gros plus et changer une partie de la conférence ouest. Son état de santé est tout de même très fragile et les attentes diminuent au fil des ans.

Z comme Zéro

L’agent Zéro a disparu mais Gilbert Arenas est toujours là. On le croyait assagi, voire dépressif mais le naturel revient toujours au galop. Quelles blagues va-t-il encore faire et, plus important, reviendra-t-il finalement au niveau qu’il avait quelques saisons auparavant ? On l’espère pour les Wizards, et pour la NBA en général.

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