En passe de jouer sur le parquet des Wolves, les Lakers se déplacent dans une ville du Midwest pour un match seulement : c'est déjà arrivé quatre fois au cours de la saison et ce n'est pas fini puisque l'équipe californienne a encore un match chez les Spurs au mois d'avril. Des petits périples qui font enrager Luke Walton, lequel doit modifier toute sa logistique pour ces voyages à rallonge.
“Si nous nous déplaçons pour un match seulement à Phoenix ou Golden State, c'est simple mais là-bas (à Minneapolis), vous changez de fuseau horaire et vous perdez deux heures”, a-t-il souligné auprès de l'Orange County Register.
D'après Luke Walton, ce genre de voyages crée des problèmes de jet-lag et constitue une plaie qu'il espère limitée la saison prochaine. D'ailleurs, la franchise va discuter avec la NBA à ce sujet et le coach est enclin à quelques concessions.
“Il y a de bonnes intentions. La NBA essaye de trouver un moyen de réduire les back-to-backs. Ils essayent de rendre les choses égales pour tous. Je préfèrerais avoir plus de back-to-backs. S'il y a possibilité de le faire là où il y a une ville plus proche, cela ouvre différentes options.”
Quitte à choisir son poison, Luke Walton préfère des matchs enchaînés à des voyages trop longs pour des rencontres isolées. Cette saison, les Lakers ont disputé 16 back-to-backs contre 18 la saison dernière.
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