New Orleans a remporté trois matchs depuis l’arrivée de DeMarcus Cousins : le premier lorsqu’il était suspendu, le deuxième quand il a eu des problèmes de faute et le troisième lorsque son coach a décidé de se passer de lui en fin de match.
Mais le pivot ne s’inquiète pas et assure que tout est une affaire de circonstances.
« L’équipe avait un bon rythme », assure-t-il. « Ils jouaient bien donc je n’étais pas du tout énervé. Nous avons récupéré une bonne victoire, je n’avais pas de raison d’être en colère. »
L’ex-King n’a logiquement pas envie de polémiquer si rapidement après son arrivée en Louisiane. Même son de cloche du côté d’Alvin Gentry, qui n’a pas l’intention de vexer son nouveau joueur pour une seule fin de match.
« C’était simplement une situation avec une équipe qui jouait petit et qui avait un matchup difficile face à AD [Anthony Davis]. Nous arrivions à créer des espaces et à mettre des tirs. Donc nous avons décidé de faire confiance à ce groupe. C’est tout. Il n’y a rien de profond ou quoique ce soit. C’est juste comme ça que le match s’est déroulé ».
Inutile donc de tirer trop de conclusions sur la complémentarité entre Anthony Davis et DeMarcus Cousins. Formé en cours de saison, le duo n’a pas vraiment le temps de travailler son alchimie et il est logique qu’Alvin Gentry s’appuie en priorité sur « Unibrow » lorsqu’il se retrouve face à une situation délicate.
Contre les Hornets, les deux hommes n’ont d’ailleurs pas joué ensemble en deuxième période.
« Il est comme tout autre joueur », confie Alvin Gentry au sujet de DeMarcus Cousins. « Il veut jouer le dernier quart-temps, aussi. Nous étions bons. Mais si nous jouons 50 matchs, il sera probablement présent en fin de match pour 48 d’entre eux ».