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Gerald Green assume avec plaisir son nouveau rôle de mentor

Gerald Green est passé par là, il sait ce que peut représenter le soutien moral d’un vétéran pour un jeune débutant en NBA. Il y a douze ans, il débarquait dans la ligue sans la moindre expérience universitaire. Choisi en 18e position de la draft 2005, l’ailier avait sérieusement peiné pour convaincre Doc Rivers. Les Celtics n’avaient gagné que 24 matches mais Gerald Green n’en avait pas profité pour se faire son trou. 

Revenu dans la cité du Mayflower après une campagne avec le Heat, l’ancien dunkeur des Pacers devenu une gâchette aux Suns accepte avec plaisir son rôle de mentor. Peu utilisé par Brad Stevens (11 minutes de moyenne), il a pris Jaylen Brown, Terry Rozier et James Young sous son aile. Il a même une affection particulière pour l’ex-arrière de Kentucky, resté depuis la draft 2014 dans l’ombre de tous ceux qui le privent de temps de jeu.

Samedi soir sur le parquet de Salt Lake City, pendant qu’il passait 16 points à la défense du Jazz, Gerald Green a pris le temps de conseiller et motiver Young, lancé dans la bataille après la crampe de Marcus Smart dans le deuxième quart-temps. Après avoir raté ses deux premiers tirs, le Wildcat a rentré deux shoots primés décisifs dans le dernier quart-temps, terminant la rencontre avec 10 points, son deuxième meilleur total de la saison après ses 12 points du 12 novembre face aux Pacers.

« Je parle beaucoup avec Gerald, il m’explique les petites choses qui peuvent faire la différence, les opportunités qu’il faut savoir saisir et la patience qu’il faut avoir en attendant son heure », expliquait James Young après la belle victoire du Trèfle.

Loué par le staff technique pour ses progrès défensifs, confirmés par son bon passage sur Gordon Hayward, le troisième année profite du nouveau rôle de l’ancienne tête brûlée, qui l’assume avec plaisir.

« J’ai accepté cette tâche. James me rappelle un peu mes premières années, quand j’essayais de trouver ma place et de gagner du temps de jeu derrière de très bons joueurs. La différence c’est que moi je n’étais pas dans une aussi bonne équipe que les Celtics d’aujourd’hui. Je lui dis de se tenir prêt, de continuer de se préparer comme s’il allait jouer 30 minutes à chaque match. Etre capable comme ce soir de revenir en deuxième mi-temps en mettant de gros shoots et en défendant sur le meilleur scoreur adverse, c’est fort. »

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