Tout sourire à l’Adidas Eurocamp, Peja Stojakovic a de quoi être satisfait. Après avoir trouvé un remplaçant à George Karl, l’adjoint de Vlade Divac est maintenant déterminé à aider Sacramento à progresser. Pour cela, il compte bien sûr sur le 8e choix que les Kings possèdent à la prochaine Draft mais aussi sur la free agency et les trades. Avec Basket USA, il évoque ses attentes en tant que dirigeant, comment il compte renforcer l’équipe et bien entendu DeMarcus Cousins.
Sélectionné dans le deuxième meilleure équipe de la ligue, DeMarcus Cousins sera une nouvelle fois la figure de proue du bateau Kings. Comme le confie Peja Stojakovic.
« À mon sens, DeMarcus Cousins est l’un des cinq meilleurs joueurs de NBA actuellement », avance-t-il. « C’est le pivot dominant de sa génération et nous souhaitons continuer de construire l’équipe autour de lui.
Pourtant, malgré son talent, les Kings ne sont jamais allés en playoffs. Que faut-il faire pour changer cela ?
« Nous avons le potentiel pour être en playoffs cette saison. Nous sommes confiants dans le développement de nos jeunes joueurs et nous allons encore nous renforcer via la draft et la free agency. Actuellement, on se concentre pour recruter des meneurs de jeu et des arrières qui soient adroits à longue distance ».
Revenu aux Kings pour apporter son expérience et aider Vlade Divac, l’ancien shooteur est satisfait.
« C’est une grande opportunité pour moi d’être revenu aux Kings et de travailler avec Vlade Divac. Nous essayons de trouver tous les moyens possibles pour remettre l’équipe sur les bons rails. L’organisation est très loyale vis-à-vis de ses anciens joueurs et comptent sur eux pour remettre l’équipe sur le bon chemin. Etre un dirigeant implique beaucoup de changements par rapport à une carrière de joueur. Il faut penser à tous les joueurs et plus seulement à être à l’heure aux entrainements et en bonne forme physique ».
Avec Dave Joerger comme coach, les Kings semblent être sur le bon chemin et prêts à faire un bond en avant dans la conférence Ouest. Alors que les témoignages s’accumulent sur le chaos du vestiaire, c’est plus que nécessaire.
Propos recueillis à Trévise