Matchs
NBA hier
Matchs
hier
HOU131
GSW116
LAL96
MIN103
Pariez en ligne avec Unibet
  • DET1.82NEW2Pariez
  • LA 1.35DEN3.25Pariez
  • 100€ offertsLa suite →

Eurobasket 2015 : la preview complète du Groupe D

jonasL’Eurobasket commence samedi prochain sur les quatre sites français, allemand, croate et letton. D’ici là, Basket USA vous propose les previews de chaque groupe avec les forces et faiblesses de chaque équipe, les joueurs à suivre et nos pronostics pour le classement. Pour rappel, Basket USA sera présent tout au long de la compétition, à Montpellier puis Lille, pour vous faire vivre de l’intérieur l’épopée des Bleus de Tony Parker et Boris Diaw.

Aujourd’hui, on finit notre tour d’horizon avec le Groupe D qui jouera ses matchs en Lettonie, à Riga, dans l’Arena éponyme (12 500 places). La Lituanie y fait figure de favori incontesté, avec la Lettonie, la Belgique et la République Tchèque comme probables compagnons de vol vers Lille. L’Ukraine et l’Estonie seront les grosses cotes de ce groupe très « baltiques ». Ouvert aux quatre vents, il devrait en tout cas nous réserver de belles confrontations. Et probablement des surprises !

lithuaniaLituanie ***

LE JOUEUR À SUIVRE

Jonas Valanciunas. Rapatrié quelques jours par sa franchise des Raptors pour le faire signer son prochain contrat, de 64 millions de dollars sur quatre ans, Jonas Valanciunas sera le leader de sa sélection nationale. Le pivot lituanien progresse année après année en NBA et si le chantier se poursuit, notamment au niveau défensif, il est d’ores et déjà une force au poste de pivot. Sa puissance au poste bas ainsi que ses qualités naturelles à la finition lui permettront de dominer la concurrence, surtout dans son groupe. La question sera surtout de savoir si jonas Valanciunas va « sortir de sa coquille » et devenir un véritable meneur d’hommes pour aller chercher une nouvelle breloque.

FORCE

Un nouveau souffle. Alors que plusieurs des cadres sont absents (Kleiza, Pocius, Motiejunas), la Lituanie va recevoir l’apport de la nouvelle génération incarnée par le fiston de Sabas, Domantas Sabonis, qui a seulement 19 ans. Mais il y aura également le meneur de 21 ans, Lukas Lekavicius, qui porte la tunique verte et jaune de la Lituanie depuis l’été 2010 en compétitions de jeunes. On devrait également trouver le jeune Kuzminskas avec un rôle accru en attaque, lui qui évolue depuis deux saisons en ACB. L’association Valanciunas – Sabonis serait ainsi particulièrement savoureuse si coach Kazlauskas ose ce pari sur certaines séquences.

FAIBLESSE

Un effectif quand même bien diminué. Défaits par la Croatie, la Turquie et la Grèce en fin de préparation, après un départ impeccable avec 6 victoires de suite, les Lituaniens ont manqué de répondant face aux véritables concurrents pour le prochain titre continental. À leur décharge, les deux premières défaites l’ont été sans Jonas Valanciunas. Mais de manière plus générale, les Baltes sont de formidables joueurs mais ils calent souvent face aux grosses écuries européennes. Sans trois (voire quatre) de leurs joueurs cadres, un nouveau podium continental semble difficile à imaginer…

EFFECTIF

Meneurs : Mantas Kalnietis, Lukas Lekavicius
Extérieurs : Renaldas Seibutis, Jonas Maciulis, Mindaugas Kuzminskas, Deividas Gailius, Arturas Milaknis
Intérieurs : Jonas Valanciunas, Robertas Javtokas, Domantas Sabonis, Paulius Jankunas, Antanas Kavaliauskas
Coach : Jonas Kazlauskas

Les absents : Linas Kleiza, Donatas Motiejunas, Martynas Pocius, Darjus Lavrinovic…

LE BILAN EN PRÉPARATION

7 victoires – 3 défaites
758 points marqués
713 points encaissés
+45

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Médaille d’argent – battue en finale par la France (8 victoires – 3 défaites)

latvia Lettonie **

LE JOUEUR À SUIVRE

Janis Blums. C’est une vieille connaissance de l’Equipe de France, contre qui il avait brillé lors de l’Euro lituanien avec 32 points (mais une défaite au final). À 33 ans, Janis Blums est un vieux routier du circuit européen mais il évolue encore actuellement au sein d’un de ses clubs les plus prestigieux : au Panathinaikos ! Shooteur pur qui peut prendre feu à tout moment, il est surtout l’âme de cette équipe dans laquelle il compte 117 sélections. Figure emblématique de son pays, Janis Blums va pouvoir profiter au maximum d’un tournoi disputé à la maison.

FORCE

Un premier tour à domicile. Comme pour l’Allemagne à Berlin, la Lettonie évoluera pour cette phase de poule devant son public à Riga. Qualifiés facilement pour cet Euro, les Lettons ne vont malheureusement pas pouvoir capitaliser sur la présence de leur « nouvelle star » NBA, Kristaps Porzingis étant resté à New York, mais l’organisation de ce début de tournoi permettra à une générations d’internationaux chevronnés de pouvoir se produire devant leurs fans. Une belle récompense ! De plus, les coéquipiers des Blums et Bertans devraient pouvoir se hisser au deuxième tour à Lille. Avec l’élan du premier tour, il faudra veiller sur ses shooteurs diaboliques…

FAIBLESSE

Des rotations trop limitées. À part pour Kristaps Janicenoks qui évolue à domicile à Ventspils, les quatre autres membres du cinq majeur jouent à l’étranger. En Allemagne, en Grèce, en Espagne ou en Russie, le Letton s’exporte assez bien mais pas encore suffisamment pour former un effectif complet de 12 joueurs. Et c’est là où le bât blesse. En dehors des six joueurs qui ont quitté les frontières, la Lettonie est assez limité en termes de talent pur. Pour réaliser un coup en phase finale, les hommes de coach Bagatskis auront besoin d’un coup de pouce du destin car les titulaires ne pourront pas tout faire tout seul.

EFFECTIF

Meneurs : Janis Strelnieks, Janis Blums, Kaspars Vecvagars
Extérieurs : Dairis Bertans, Haralds Karlis, Janis Timma, Kristaps Janicenoks, Zanis Peiners
Intérieurs : Kaspars Berzins, Rolands Freimanis, Martins Meiers, Mareks Mejeris
Coach : Ainars Bagatskis

Les absents : Kristaps Porzingis, Davis Bertans…

LE BILAN EN PRÉPARATION

5 victoires – 3 défaites
615 points marqués
611 points encaissés
+4

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

11e au classement final – sortie au deuxième tour  (4 victoires – 4 défaites)

belgium Belgique **

LE JOUEUR À SUIVRE

Axel Hervelle. On a hésité à vous mettre le petit nouveau qui monte, Pierre-Antoine Gillet, élu meilleur basketteur du pays cette saison, mais Axel Hervelle est le véritable taulier de l’équipe. L’ancien du Real joue désormais à Bilbao et à 32 ans, il est clairement le joueur le plus expérimenté et le plus connu de Belgique. Intérieur frêle mais complet, il aura surtout un rôle de leader à assumer pour entraîner la Belgique vers les phases finales. Ensuite, ce sera à quitte ou double face à une grosse écurie…

FORCE

Une équipe accrocheuse. Si vous lisez entre les lignes de leurs résultats en préparation, vous comprendrez que les Belges sont une équipe vraiment compliquée à jouer. Ayant précisément accroché la France à Saint Quentin (-2), l’Espagne à Gijon (-3), les Lions ont même battu la Grèce en début de préparation (+5). De quoi donner à réfléchir. A priori courte pour aller chercher mieux qu’un huitième, voire un quart, les Belges continuent néanmoins de construire un programme solide autour de leur sélection nationale. Les Tabu, Mukubu et Tumba sont de vraies pestes et sont physiquement impressionnants alors que la naturalisation de Matt Lojeski fournit un vrai shooteur estampillé Euroligue. Le basket belge n’est plus une blague !

FAIBLESSE

Une raquette un peu « short ». 2m06. C’est la taille du plus grand Belge, Kevin Tumba. C’est forcément un peu léger pour combattre face aux molosses qui dépassent allègrement les 7 pieds (2m13) à cet Eurobasket. La fougue et la puissance de Tumba, ou le savoir-faire d’un Alex Hervelle seront de beaux atouts mais pour lutter, et encaisser la répétition des efforts dans les raquettes de l’Euro, les Lions devraient éprouver de grosses difficultés. De manière générale, comme l’Islande, la Belgique ne dispose pas d’un réservoir suffisant pour trouver des joueurs de grande taille. Du coup, c’est aussi un peu court à l’arrière (sous les 2m pour tous les arrières et ailiers sauf Gillet à 2m01).

EFFECTIF

Meneurs : Sam Von Rossom, Lionel Bosco, Jonathan Tabu
Extérieurs : Matt Lojeski, Wen Mukubu, Pierre-Antoine Gillet, Jean Salumu, Quentin Serron
Intérieurs : Axel Hervelle, Maxime De Zeeuw, Jean-Marc Mwema, Kevin Tumba
Coach : Eddy Casteels

Les absents : Christophe Beghin, Sacha Massot, Ioann Iarochevitch…

LE BILAN EN PRÉPARATION

4 victoires – 5 défaites
621 points marqués
565 points encaissés
+56

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

9e au classement final – sortie au deuxième tour (3 victoires – 5 défaites)

czech République Tchèque **

LE JOUEUR À SUIVRE

Jan Vesely. L’ancien des Wizards est rentré en Europe depuis l’été passé, au Fenerbahce, où il sera encore à la rentrée prochaine. Et si on n’entend pas forcément beaucoup parler de lui, Jan Vesely a retrouvé de belles sensations, ainsi qu’en témoignent ces 11 points et 5 rebonds en Euroligue cette saison. Toujours aussi délié et spectaculaire dans les finitions (ou claquettes éventuelles) près du cercle, l’immense ailier de 2m13 s’est également durci au contact des méthodes européennes. À 25 ans, et pour son deuxième Euro, on attend Jan Vesely dans un rôle de patron. Et pourquoi pas dans le cinq final… pour se refaire une réputation ?

FORCE

Le meilleur effectif de leur histoire ? Avec les vieux routiers, Jiri Welsch et Lubos Barton, tous deux à 35 ans, et la nouvelle génération incarnée par Jan Vesely, Tomas Satoransky et Ondrej Balvin, plus la naturalisation de dernière minute de Blake Schilb (ancien MVP de Pro A), la République Tchèque présente sans aucun doute la meilleure équipe de sa très récente histoire (3 participations à l’Euro : 1999, 2007 et 2013, et 11e place comme meilleur classement). En 2013, en Slovénie, c’était quasiment tout un groupe qui découvrait le haut du panier. Cette fois-ci, les talents purs tchèques seront attendus au tournant. Pas forcément en réussite en préparation, les hommes de coach Ginzburg ont une belle opportunité de passer le cap du premier tour. Ce serait une première.

FAIBLESSE

Un collectif friable. Plus que de talent, on sait qu’il y en a à foison, il va s’agir d’alchimie pour la République Tchèque. Satoransky est un petit génie avec des cannes pleines de TNT, Vesely est un ailier délié qui peut tout écrabouiller, Schilb est un talentueux touche-à-tout et les Welsch, Barton ou Jelinek sont de vaillants soldats. A priori, tous les ingrédients sont réunis mais la mayonnaise n’a pas encore pris (cf. bilan en prépa). Fort heureusement, le sort leur a souri en tombant dans un groupe où ils peuvent rivaliser. Une des grandes interrogations réside dans la capacité de Blake Schilb à rendre ses coéquipiers meilleurs avec si peu de vécu collectif en amont. De même, il faudra limiter les dégâts en défense où les Tchèques ont pas mal dégusté en « matchs amicaux » (75,4 points en moyenne)…

EFFECTIF

Meneurs : Tomas Satoransky, Jakub Sirina
Extérieurs : Blake Schilb, Jiri Welsch, Lubos Barton, Vojtech Hruban, David Jelinek, Pavel Pumprla
Intérieurs : Jan Vesely, Petr Benda, Patrik Auda, Pavel Houska
Coach : Ronen Ginzburg

Les absents : aucun

LE BILAN EN PRÉPARATION

2 victoires – 7 défaites
638 points marqués
679 points encaissés
-41

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

13e au classement final – sortie au premier tour (2 victoires – 3 défaites)

estonia Estonie *

LE JOUEUR À SUIVRE

Kristjan Kangur. Il n’est plus de prime jeunesse du haut de ses 32 ans, mais comment ne pas choisir Kangur quand on sait qu’il a remporté sept fois de suite le trophée de meilleur joueur du pays ces sept dernières années ! Ancien de l’Asvel où il a gagné la Semaine des As, Kristjan Kangur évolue depuis 2010 en Italie, entre Varèse et Milan en passant par Bologne et Sienne. Tanké malgré ses 2m01, cet intérieur est un fantastique athlète mais ce seront surtout ses qualités de leader et de vétéran qui seront requises pour l’Estonie. Mais soyons honnêtes, le destin de l’équipe balte devrait se limiter au premier tour.

FORCE

Un état d’esprit irréprochable. Parmi ses voisines baltes de Lituanie et de Lettonie, l’Estonie fait pâle figure. En fait, leur qualification à l’Euro, ça fait déjà deux ans qu’ils se battent pour l’arracher. Construite autour de la famille Sokk qui s’occupe du coaching (Tiit le père, 50 ans) et les deux fils, Tanel (30 ans) et Sten-Timmu (26 ans) qui s’occupent d’en partager la mène (plus les frères Dorbek), la sélection estonienne a réussi à composter son ticket avec ses tripes et ses vertus collectives. Sans star, seuls trois joueurs évoluent à l’étranger (Russie, Italie, Lituanie), l’Estonie n’aura de toutes manières pas le choix, il faudra se battre du début à la fin… et rentrer ses tirs de loin ! Être battu assez largement par l’Israël et la Bosnie-Herzégovine en fin de préparation n’est clairement pas la meilleure manière d’aborder le cinquième Euro de leur histoire.

FAIBLESSE

Une pénurie de grands. Cela risque fort de leur être rhédibitoire mais l’Estonie ne peut que constater sa faiblesse à l’intérieur. Avec trois joueurs seulement au-dessus des 2m05 – et le plus grand, Toome, qui « plafonne » à 2m08 – la raquette estonienne souffre. Et elle va vraiment souffrir à ce niveau de compétition. Traduction : il faudra particulièrement insister sur le rebond collectif, les écrans retard… et les fondamentaux de manière générale. De plus, sachez que ledit Joosep Toome (ainsi que son compatriote Tanel Kurbas) reviennent en équipe nationale pour la première fois depuis quatre ans.

EFFECTIF

Meneurs : Tanel Sokk, Sten-Timmu Sokk
Extérieurs : Rain Veideman, Gregor Arbet, Tanel Kurbas, Erik Keedus, Gert Dorbek
Intérieurs : Kristjan Kangur, Reinar Hallik, Janar Talts, Joosep Toome, Siim-Sander Vene
Coach : Tiit Sokk

Les absents : aucun

LE BILAN EN PRÉPARATION

4 victoires – 4 défaites
492 points marqués
587 points encaissés
-95

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Non qualifiée

ukraine Ukraine *

LE JOUEUR À SUIVRE

Kyrylo Fesenko. En rêve, l’Ukraine aurait été représenté par l’énorme potentiel physique d’Alex Len, le jeune pivot prometteur des Suns. En deuxième lieu, on aurait pu voir Slava Kravtsov, actuel pensionnaire de Foshan en Chine, qui avait tourné à 7 points et 6 rebonds lors de la dernière Coupe du Monde. Mais non plus. Au lieu de ça, il faudra se contenter de Kyrylo Fesenko. Et on a déjà à faire à un beau bébé ! 2m16 et 131 kilos à bouger, ça ne se fait pas seul… Aussi surprenante qu’apparaît la profondeur du réservoir de pivots en Ukraine, c’est donc l’ancien pivot du bout du banc du Jazz (quatre saisons à 2 points de moyenne) qui sera titulaire. Voilà une occasion inespérée de se montrer pour la suite de sa carrière.

FORCE

De la ressource. On peut dire qu’ils en ont ! Alors qu’ils devaient être les organisateurs du tournoi… ils ont rapidement dû y renoncer avec la situation politique qui se dégradait. La sélection ukrainienne va donc arriver à l’Euro dans une forme bien terne. Rendez-vous compte : six de leurs joueurs essentiels ont renoncé à venir cet été pour représenter leur pays. Le pivot Alex Len (Phoenix), Pooh Jeter (champion à Limoges), Sergii Gladyr, Slava Kravtsov, même les vétérans Lischuk et Pecherov qui ont séché… Ça fait beaucoup d’absents ! Et pourtant, l’Ukraine a réussi à battre l’Italie et la Finlande en fin de préparation. Après les fessées données par les Bleus, il fallait bien ça pour retrouver un peu d’optimisme.

FAIBLESSE

Un banc maigrelet. Conséquence directe des forfaits en cascade, le nouveau sélectionneur (qui plus est) Murzin va devoir faire avec les moyens du bord. Pas beaucoup d’expérience à faire valoir sur les rotations et c’est bien normal dans ces circonstances. Il faudra tenir dans la tourmente pour les Ukrainiens. Il faudra surtout espérer que leur secteur intérieur, assez fort avec deux géants (Fesenko et Pustovyi), porte l’essentiel de la charge en attaque. La naturalisation de Jerome Randle soulagera au moins le poste de meneur. Mais, comme on l’a vu face aux Bleus, ce dernier aussi doit s’habituer au plus haut niveau.

EFFECTIF

Meneurs : Jerome Randle, Denys Lukashov, Olexandr Mishula
Extérieurs : Oleksandr Lypovyy, Pavlo Krutous, Maksym Pustozvonov, Oleksandr Sizov
Intérieurs : Kyrylo Fesenko, Ihor Zaytsev, Maxym Korniyenko, Artem Pustovyi, Stanislav Tymofeyenko
Coach : Evgeni Murzin

Les absents : Alex Len, Pooh Jeter, Sergii Gladyr, Viacheslav Kravtsov, Serhiy Lischuk, Oleksiy Pecherov, Mike Fratello (!)…

LE BILAN EN PRÉPARATION

3 victoires – 5 défaites
539 points marqués
648 points encaissés
-109

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

6e au classement final – sortie en quarts de finale par la Croatie (6 victoires – 5 défaites)

LE CALENDRIER DU GROUPE D

5 septembre 2015

  • République Tchèque – Estonie à 15h30
  • Belgique – Lettonie à 18h30
  • Lituanie – Ukraine à 21h30

6 septembre 2015

  • Estonie – Belgique à 15h30
  • Lettonie – Lituanie à 18h30
  • Ukraine – République Tchèque à 21h30

7 septembre 2015

  • Lituanie – Belgique à 15h30
  • République Tchèque – Lettonie à 18h30
  • Ukraine – Estonie à 21h30

9 septembre 2015

  • Belgique – République Tchèque à 15h30
  • Lettonie – Ukraine à 18h30
  • Estonie – Lituanie à 21h30 – diffusion en direct sur le canal 253 (Multisports 1)

10 septembre 2015

  • Ukraine – Belgique à 15h30
  • Lettonie – Estonie à 18h30
  • République Tchèque – Lituanie à 21h30 – diffusion en direct sur le canal 253 (Multisports 1)

Suivez toute l'actualité NBA sur la chaîne WhatsApp de Basket USA

Suivez nous également sur Google Actualités

Commentaires
Forum (et HS)  |   +  |   Règles et contenus illicites  |   0 commentaire Afficher les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *