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Lionel Hollins a un souci avec les stats avancées ? « La chose la plus stupide que j’ai jamais entendue »

483130102080_Celtics_v_GrizzliesActuellement en danger à Brooklyn, Lionel Hollins avait été écarté par les Grizzlies alors que ses résultats étaient excellents (56 victoires et une finale de conférence en 2013). D’après plusieurs rumeurs, le coach s’opposait aux évaluations statistiques prônées par la nouvelle direction.

Le coach des Nets aurait des problèmes avec l’utilisation des stats avancées en NBA. Il est de la veille école et les chiffres l’intéressent peu. N’est-ce pas ?

« Je vais prendre une grande inspiration et dire que c’est la chose la plus stupide que j’ai jamais entendue car tous les coaches utilisent des statistiques », assure-t-il au New York Post. « Maintenant, est-ce que je comprends toutes les nouvelles statistiques ? Non, mais je peux les apprendre. »

Évidemment, en ce qui concerne les moyennes par match, Lionel Hollins en a besoin.

« Quand je parle à un joueur de son jeu, j’ai des stats à lui montrer. Pareil quand j’évoque mon cinq majeur ou les joueurs sur le terrain, je peux justifier mes choix. Les joueurs le savent, ça fait partie du jeu. Je regarde les stats tous les jours. »

Mais il ne désire pas non plus étouffer ses joueurs de chiffres ou rendre le jeu trop mathématique.

« Les statistiques sont pour les coaches car, sinon, cela fait tourner la tête des joueurs. Je me souviens en playoffs, on avait les pourcentages d’un joueur quand il partait à gauche, à droite… Mais est-ce qu’on peut juste pousser un joueur à l’opposé des positions où il est efficace ? Probablement que non. Il faut connaître ses joueurs, leurs forces et leurs faiblesses mais donner toutes ces statistiques aux gars, ça les surcharge. »

La confiance et le ressenti sur le terrain restent donc les premiers éléments dans la décision de Lionel Hollins. Même si les statistiques le contredisent.

« À Memphis, j’avais l’habitude de dire que si on me disait que mon équipe était meilleure sans Zach Randolph, il serait tout de même sur le terrain dans les deux dernières minutes. Je me fiche de ce que les stats disent, j’ai confiance en lui et il me donne la meilleure chance de gagner. C’est pareil à Brooklyn, il y a des combinaisons qui ne fonctionnent pas. Mais il y a aussi des joueurs de dernier quart-temps ou de milieu de match. Le plus important, c’est de savoir ce dont a besoin pour gagner. »

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