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[happy birthday] Manu Ginobili, serial winner

À la veille de débuter le tournoi olympique avec l’Argentine, Manu Ginobili fête ses 35 ans ce samedi 28 juillet.

Après une saison perturbée par les blessures et une élimination en finale de conférence Ouest avec les Spurs, sa sélection nationale part en reconquête de l’or gagné à Athènes en 2004 puis cédé à Pékin quatre ans plus tard. Un des nombreux titres que El Manu compte à son palmarès.

Car derrière sa démarche qui ne paye pas de mine et son style parfois peu conventionnel, Ginobili cache la hargne des plus grands. Partout où il est passé, il a connu le succès. En Italie d’abord, en NBA ensuite. Sans oublier le titre olympique de 2004. Un parcours qui devrait lui assurer une belle place au Hall of Fame.

La victoire dans le sang

Né d’un père coach avec deux frères qui jouaient aussi à mettre un ballon dans le panier, Ginobili n’a pas pu échapper au virus basket bien longtemps. Arrivé en Italie en 1998, il explose avec le Kinder Bologne en 2001. Cette année là, il est le MVP du championnat et de la finale de l’Euroleague, deux compétitions que son équipe remporte. Bologne réalise même le triplé en s’adjugeant la coupe d’Italie.

La saison suivante, El Manu enfonce le clou. Il est une nouvelle fois MVP du championnat et de la coupe, termine dans l’équipe type de l’Euroleague et celle du championnat du monde. Il est temps pour lui de rejoindre les Spurs, qui l’ont drafté 3 ans plus tôt en 57e position.

À son arrivée en NBA, l’Argentin est un faux vieux. Alors qu’à l’époque les jeunes américains arrivent directement du lycée, lui a 25 ans. C’est toujours jeune, mais c’est le début de sa deuxième vie de basketteur.

L’ère du Big Three

D’abord en difficulté pendant sa première saison régulière, Ginobili sort ses ailes dans les moments qu’il aime le plus : les matches à enjeu. En 2003, pour ses premiers playoffs, il joue un rôle important en sortant du banc pour apporter quelques actions décisives. San Antonio est titré et le Big Three est né. Avec Tim Duncan et Tony Parker, deux autres titres s’ajoutent à son palmarès en 2005 et 2007. Des récompenses collectives auxquelles il ajoute deux sélections pour le All-Star Game.

Manu Ginobili est prêt à tout pour gagner. Il prend des coups, accepte de sortir du banc, jette son corps dans tous les sens et se laisse parfois aller au flopping. Une détermination qui lui vaut le respect de ses adversaires.

« Ça c’est un bad boy », lance Kobe Bryant dans le documentaire Kobe doin’ work. « J’ai tellement de respect pour son jeu. Et c’est un incroyable compétiteur. J’aime jouer contre lui. C’est un arrière fantastique. »

Le génial gaucher a encore quelques saisons pour embellir son palmarès. S’il est toujours sur le terrain, c’est qu’il veut encore gagner. Mais son armoire à trophées a déjà de quoi faire pâlir d’envie la plupart de ceux qui croisent sa route.

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