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Le roman de l’hiver : « Dream Team » (5)

Depuis deux ans, Basket USA vous propose le roman de l’été (avec des extraits de l’autobiographie de Phil Jackson puis du « Michael Jordan, The Life » de Roland Lazenby), et pour vous accompagner au coin du feu, nous vous proposons désormais le roman de l’hiver. On attaque avec l’ouvrage de référence de Jack McCallum, grande plume de l’hebdomadaire US « Sports Illustrated », sur l’aventure de la « Dream Team » à Barcelone. Une formation de légende qui fêtait en 2017 ses 25 ans. Bonne lecture !

Première partie
Deuxième partie
Troisième partie
Quatrième partie

Il y avait toujours Magic Johnson, bien sûr, et ce gars n’avait pas sa langue dans sa poche mais l’image selon laquelle il était l’éternel Monsieur Rayon-de-soleil, au moins pendant sa période d’activité en tant que joueur, est largement surfaite. Après sa délicieuse saison 1986-87 au skyhook junior et au titre de MVP, le jeu est devenu un petit peu moins fun pour lui, la faute à l’harassante croisade des Lakers en vue de réaliser le doublé en 1987-88.
Pat Riley, qui avait « garanti » un doublé après les Finales 1987, les poussait sans relâche. J’étais allé à L.A. avant les playoffs et Riley avait sorti les chiffres sur ordinateur montrant que les performances de Magic Johnson, James Worthy et Kareem Abdul-Jabbar avaient toutes baissé par rapport à la saison précédente. Riley avait ensuite comparé les stats de Magic à celles de Michael Jordan et de Larry Bird, faisant apparaître que le bilan des « moins » et des « plus » de Magic arrivait en troisième position dans la Ligue, derrière les chiffres des deux autres. Les coaches et les joueurs détestent que les journalistes établissent des comparaisons basées sur les statistiques mais ils font exactement la même chose.

« La saison dernière, Earvin était un joueur très déterminé, me confia Riley. Il était déterminé à être MVP et il a finalement réussi. Il l’a fait en prenant beaucoup d’initiatives, des tirs, des pénétrations, en prenant l’ascendant sur le match. Cette année, pour je ne sais quelle raison, il ne l’a pas fait. » Riley n’aurait pas pu être plus clair pour envoyer son message.

Bird n’aurait jamais joué la victime comme Magic

Ces commentaires forcèrent Magic à endosser le costume de la victime. Il soupirait profondément quand on lui présentait les vues et les statistiques de Riley. « Je pense que ça redevient comme c’était avant. On considère les choses comme acquises avec moi, dit-il. “Magic ? Il est « censé » faire un triple-double. Il est « censé » faire plein de passes. Il est « censé » mener la meilleure équipe de basket.” Est-ce que ça m’embête ? Oui, un peu. C’est la négation de ma reconnaissance en tant que personne, sans aucun doute. »
On n’a jamais vu Larry Bird soupirer ni se plaindre. On aurait pu entendre des « Allez vous faire foutre, j’ai pas envie d’en parler » ; mais jamais on n’aurait pu le voir dans une posture de victime.
Les Lakers ont finalement réussi le doublé ; c’était la première équipe à y parvenir depuis vingt ans. Mais le stress fissura la relation entre Riley, qui quitta les Lakers après la saison 1989-90, et Magic, qui n’était plus le « Guerrier ensoleillé » qu’il avait été.

La personnalité radieuse de Magic pouvait être parfois un peu rebutante mais l’homme était grand, un grand joueur, le meneur de l’équipe de tous les temps de presque tout le monde. Sa taille de 2,06 m lui donnait un net avantage sur le 1,95 m d’Oscar Robertson. On pourrait débattre à l’infini pour savoir s’il était un plus grand joueur que Bird. Mais pendant les douze ans où il a été au sommet de son art, Magic a toujours su se surpasser dans les grands moments.

Il a terminé sa carrière avec 33 triple-doubles en playoffs, un record qui pourrait à peine être approché (Bird en a réalisé 10. Des autres « Dream Teamers », seuls Charles Barkley et Scottie Pippen figurent sur la liste, avec 4 chacun). Et étant donné que Magic et Bird ont tous deux défini leurs carrières en fonction des bagues de champion – j’entendais Bird dire « gagner un championnat » si souvent que cette expression en venait, pour moi, à ne sonner et à ne s’écrire qu’en un seul mot, « gagnerunchampionnat » – mon opinion est que Magic a eu la meilleure carrière. Il a gagné cinq bagues, Bird a en remporté trois. Oui, Johnson était très bien secondé mais Bird aussi.

Les ennemis jurés finissent par prêcher le même évangile

En tant que joueur, individuellement, Jordan était meilleur que chacun d’eux (et plus que cela par la suite). Mais Magic arrive en tête sur un aspect singulier du jeu – avoir un impact en attaque sans avoir besoin de marquer. Des centaines d’exemples illustrent cela mais aucun plus que celui-ci : dans le Match 6 des Finales 1982, Magic, qui gagnerait le trophée de MVP de la série, prit très exactement 4 tirs et pourtant, il domina ce match. Il marqua 13 points, prit 13 rebonds et délivra 13 passes dans une victoire 114-104 qui eut raison des Philadelphia 76ers.
Johnson fit deux choses mieux que n’importe quel autre joueur. La première fut sa faculté de contrôler et de diriger l’attaque sur demi-terrain. Grâce à sa taille, il dirigeait d’en haut, sa vision du jeu n’étant pas obstruée, comme un gardien de phare scrutant l’horizon pour traquer le brouillard. Et ceux qui essayaient de lui prendre le ballon se confrontaient à son bras d’acier. En effet, les défenses ne parvenaient jamais à presser ce quarterback (1). La deuxième fut sa vitesse d’exécution : des « pivots » de renversement fulgurants qui n’étaient pas exécutés pour la frime mais pour désorienter la défense. Il ne reçut que peu de reconnaissance pour cela.

La rivalité entre les Lakers et les Celtics (et par conséquent entre Magic et Bird) ne fut pas aussi longue qu’on pourrait le croire. Leur seul mano a mano épique eut lieu pendant les Finales 1984, quand les Celtics gagnèrent en sept matches, un souvenir qui fait encore froncer les sourcils de Magic. Au moment où ils s’affrontèrent de nouveau en Finales, en 1987, ils étaient devenus des coéquipiers de bancs opposés, vendant des baskets ensemble et prêchant les mêmes « évangiles ». Et en 1992, quand ils assumèrent ensemble le cocapitanat de la plus grande équipe de tous les temps, ils marchaient d’une même foulée vers l’histoire.

CHAPITRE 7 – LE SHOOTEUR

Mullin pose sa bouteille et engrange les points

Chris Mullin appréciait la solitude. Le premier sport où il avait montré des dons dans sa ville natale de Flatbush (État de New York), c’est la natation. Il partait nager de bon matin à la piscine du Boys Club local, dont le brouillard parfumé de chlore voilait le décor. C’était un sprinteur – « un coureur de 25 m » selon ses propres termes – et il aurait probablement pu en devenir un très bon. Mais il aimait aussi faire partie d’une équipe.

Donc, quand le coach de la Catholic Youth Organization (CYO) (2) de St. Thomas Aquinas lui a dit qu’il devrait abandonner la natation s’il voulait devenir vraiment bon au basket, il a répondu « OK ». Il aimait aussi les aspects solitaires du basket et c’est pourquoi il est devenu bon. « J’aimais me trouver tout seul dans la salle, m’a confié Mullin récemment. Non, j’adorais ça. Je posais un radiocassette sur le sol, je mettais du Bruce Springsteen et je m’éclatais. Je shootais, je prenais mes propres rebonds, je shootais encore, je reprenais le rebond. J’adorais ça. Ou bien je jouais tout terrain pendant 30 minutes. Ça ne me posait aucun problème. »

De même, boire tout seul ne le gênait pas non plus. Boire faisait partie de sa culture familiale. Son père, Rod, inspecteur des douanes à l’aéroport Kennedy, était un alcoolique – un gentil alcoolique mais un alcoolique néanmoins. Ses changements d’humeur effrayaient quelque peu Chris mais Rod restait du côté positif la plupart du temps. Il avait le « vin gai », jamais le « vin mauvais ».

Chris buvait à la maison mais il pouvait aussi aller boire dans les bars. Tout au long de ses années dorées à St. John’s, de 1982 à 1985, quand des joueurs tels que Mullin, Patrick Ewing, de Georgetown, et Ed Pinckney, de Villanova, ont fait connaître la Conférence Big East et qualifié trois équipes au Final Four, on pouvait voir Chris dans les bars de New York. Il était toujours aux premières loges mais ne faisait jamais d’esclandre. C’était la star tranquille accoudée au comptoir. Et s’il devait boire tout seul, une fois de retour dans sa chambre, il pouvait le faire aussi.

Un prodige du basket semblable à un prodige du violon

Cela lui était devenu plus facile de boire tout seul après avoir été drafté en 7e position par les Golden State Warriors en 1985. Oakland, en Californie, était un tout autre monde pour ce gamin du Queens, pur produit de la vieille école de basket de New York. En tout premier lieu, il savait shooter. « J’ai commencé dans ma cour et j’y ai pris goût, dit-il. Je me suis accaparé cette faculté, tout comme un golfeur s’accapare un coup de golf. Un jour, j’en rentrais 20, donc le lendemain, je devais en rentrer 21. Puis j’en faisais de plus en plus. Et je devais en rentrer de plus en plus. » En tant que shooteur, Mullin était un prodige, de la façon dont les enfants sont des prodiges aux échecs ou au violon. Il remporta le titre du Hoop Shoot à l’âge de 10 ans.

Mullin apprit aussi la géométrie rudimentaire du basket – les angles, les feintes de départ et les démarquages éclairs pour se donner de l’espace. Il adorait jouer le un-contre-un, puis le deux-contre-deux, puis le trois-contre-trois. Ce dernier était son préféré car il pouvait sortir d’un écran comme une fusée pour se retrouver démarqué. « On m’a appris comment “négocier” les autres gars sur le terrain », me raconta Mullin. Et il connaissait aussi la physique du basket, les reverses, les techniques de rebond et tous les fondamentaux, faisant plus d’étincelles qu’un feu d’artifice, la plupart de ses tirs terminant leur course dans le panier. « J’allais en ville jouer un peu en street, me dit Mullin. Et ça me faisait progresser.

Mais une fois rentré à la maison, mon coach de la CYO me faisait “Nin” [Mullin imite le bruit du buzzer] et me ramenait aux fondamentaux. Et donc, mon jeu est devenu une combinaison des deux. »
Les fondamentaux et le jeu collectif n’étaient pas ce qui était en vigueur à Oakland, en Californie, durant l’année 1985. Mullin arriva dans une équipe dont l’identité se forgeait autour du grand pivot Joe Barry Carrol, cible des plaisanteries du chroniqueur du « New York Post » Peter Vecsey. De façon mémorable, Vecsey l’avait d’ailleurs rebaptisé « Joe Barely Cares » (3). Et Oakland elle-même était déroutante, à près de 5 000 kilomètres de sa famille, de sa petite amie de toujours, Liz Connolly (qui deviendrait plus tard sa femme) – elle avait travaillé aux stats dans le staff de St. John’s -, des pull-overs indescriptiblement ridicules de son cher coach d’université, Lou Carnesecca, et de la camaraderie des playgrounds de « New Yawk ».

Culture de la drogue contre culture de la bière

Oakland avait une culture différente – une culture drogue, pas une culture bière, et était largement considérée comme la capitale de la cocaïne en NBA, ce qui n’était pas peu dire à l’époque. Je me souviens du coach des Atlanta Hawks, Mike Fratello, prenant la décision de maintenir son équipe à Los Angeles pour quelques jours supplémentaires au lieu de rester à Oakland avant un match contre les Warriors. «

Je préfère qu’ils fassent la bringue à L.A. plutôt qu’ils passent une seule nuit à Oakland. » La cocaïne n’a jamais été le problème de Mullin. Mais la bière l’était. Il allait la boire dans les bars et il la buvait seul. Il devint plus lourd, plus lent et un joueur de moindre valeur aux yeux de son coach, Don Nelson, qui attendait beaucoup plus de lui.

Début décembre 1987, Mullin, ce gamin qui allait prendre un millier de tirs tout seul dans une salle sombre, manqua plusieurs entraînements et Nelson le suspendit. « Nellie » savait ce qui se passait depuis des années d’entraînements manqués par d’autres joueurs et il envoya un message à Mullin : « Pars en cure de désintox. » Mullin avait une motivation. Il savait que son père avait arrêté l’alcool un peu plus tôt quand il s’était rendu compte que cela ne lui apportait rien de bien, ni à sa famille. Mais Chris était réfractaire. Il dit non à Nelson. Ils se sont engueulés là-dessus et Nelson eut vent, par un fan, que Mullin était en ville en train de picoler sévère après un match. Nelson le sermonna encore puis Mullin dit finalement oui ; et il partit en cure de désintoxication dans une clinique.

De retour à la maison, le « New York Post », qui avait par le passé célébré Chris Mullin comme l’ultime star des playgrounds, un jeune qui avait à la fois l’intelligence de la rue et la maîtrise des fondamentaux, remplaça, dans son article à propos de cette histoire, le visage de Mullin par une bouteille d’Heineken. Il était bien loin, le temps de la gloire olympique, gloire qu’il avait vécue trois ans plus tôt, en 1984, et qu’il retrouverait quatre ans plus tard.

Chris Mullin n’était pas Lindsay Lohan

La cure de Mullin n’a eu aucun caractère dramatique. Rien de comparable, ni sur le fond, ni sur la forme, avec celle de Lindsay Lohan. Mullin y était arrivé accro et il en est ressorti clean. Il a dit qu’il n’avait pas fait de rechute et que c’était sans retour ; et je n’ai jamais rencontré personne qui m’ait soutenu le contraire. Mullin a tout simplement été plus fort que son addiction et sa carrière s’en est immédiatement ressentie. Il tourna à 26,5 points par match lors de sa première saison sans alcool (1988-89) et à 25,1 points puis 25,7 points les deux suivantes, celles qui ont été prises en compte pour sélectionner les candidats à la « Dream Team ».

« On pourrait dire encore beaucoup de choses, me confia Mullin des années plus tard. Mais vous savez, j’ai toujours voulu m’en débarrasser. Je voulais être un grand joueur et l’alcool m’en empêchait. Maintenant ? Ne plus boire est une bénédiction que j’aimerais partager. J’aimerais pouvoir dire à tout le monde combien je me sens bien. »

CHAPITRE 8 – LE SOLDAT CHRETIEN

L’Amiral échoue aux Jeux olympiques

Il a grandi entre deux mondes, ce qu’il a lui-même décrit comme une « bizarrerie ». Il était invité à une fête et quand on jouait au Jeu de la bouteille, quelqu’un disait : « OK, David, tu peux être l’arbitre. » David Robinson ressent encore cette blessure. « Je me disais “Ouais, c’est bon, ils sont cools avec moi” mais seulement jusqu’à un certain point. » « Ils », c’étaient les gamins blancs, ceux avec qui il assistait aux cours avancés de maths et qui avaient de bonnes notes. En leur compagnie, Robinson se heurta à la barrière sociale pendant ses années au lycée.

Ensuite, il alla au playground et aux camps de basket. C’était le temps où il fréquentait les gamins noirs. Et là non plus, il ne se sentait pas complètement à l’aise. « C’était sympa jusqu’à un certain point, me raconta Robinson. Mais des fois, on disait des grossièretés… Eh bien, si tu parlais d’une certaine façon ou si tu agissais d’une certaine façon, ils disaient que tu étais un “Oncle Tom”, ils te disaient que tu n’étais pas assez noir. »

Robinson Sr ouvre le dico au hasard pour tester la prononciation de David

Le trash-talk, du moins sa teneur, n’a jamais été du goût de Robinson, ce qui est facile à comprendre quand on sait que son père, Ambrose Robinson, un imposant officier de la marine, avait l’habitude d’ouvrir le dictionnaire à une page au hasard pour tester la prononciation de son fils. « Pourquoi est-ce qu’on fait ça, Papa ? », demandait David. Et son père, adjudant-chef technicien sonar, juste un cran en dessous du plus haut grade qu’un homme du rang pouvait atteindre, lui répondait que c’était pour qu’il reste « en éveil ». Quand ils ne faisaient pas ça, ils réparaient des petites télévisions. Bref, le truc habituel entre un père et son fils.

Robinson évoque tout cela deux décennies plus tard avec nostalgie et je suppose que ce n’était pas si méchant que ça, d’autant qu’au pire, il avait toujours la possibilité de jouer et de dominer la compétition. « Pas quand j’étais jeune, me rétorque tout de suite Robinson. Je n’étais absolument pas bon. Ce n’était pas comme si j’avais le basket pour m’élever et me donner une bonne position. Je n’ai jamais rien fait avant mon année de Terminale au lycée. »

À cette époque, Robinson mesurait plus de 2 mètres et faisait suffisamment de bruit pour être recruté par des écoles telles que l’Institut militaire de Virginie et l’université George Washington, qui se trouvaient en proche banlieue du coin du Maryland où il avait grandi. Son avenir à l’Académie navale des États-Unis était cependant tout tracé.

À Annapolis, il a considérablement grandi, jusqu’à atteindre les 2,13 m. Il avait bien l’allure d’un seven-footer (4) car il se tenait droit comme un « i ». Son maintien était l’illustration de son comportement dans la vie : les épaules droites, le regard franc. Le pays commença à entendre parler de ses performances sous les panneaux, de ses aptitudes en gymnastique (il pouvait faire des sauts périlleux arrière et des rondades et il pouvait traverser un gymnase en marchant sur les mains) et de ses manières raffinées ; ses commentaires publics étaient d’une brillante lucidité, d’une qualité d’expression remarquable et soigneusement choisis.

Mais même quand il balayait les tirs puis quand il emmena la Navy en finale régionale du tournoi NCAA, il y avait une réticence envers Robinson. Le public le considérait de la même façon que le faisaient les gamins noirs à l’époque où il fréquentait Osbourn Park High à Manassas, en Virginie. Personne ne pouvait être « aussi » sensé et dur en même temps. Oui, des joueurs pros tels Michael Jordan et Magic Johnson venaient eux aussi de familles biparentales équilibrées mais depuis le début, ils avaient fait montre d’une faim vorace sur le terrain, que Robinson n’avait pas. De plus, ils étaient loin d’être aussi intelligents. Personne n’était aussi intelligent que David.

A suivre…

1. Joueur dirigeant l’attaque au football américain.
2. Mouvement de la jeunesse catholique.
3. Traduisible par « Joe n’en a rien à carrer ».
4. Quelqu’un qui mesure « seven feet » : 2,13 m.

– Jack McCallum, « Dream Team », éditions Talent Sport, sorti le 8 juin 2016, 396 pages, 22 euros et 13,99 en format numérique (Kindle)

A lire aussi, chez le même éditeur

– Phil Jackson, « Un coach, onze titres NBA », sorti le 14 mai 2014, 352 pages, 22 euros et 13,99 en format numérique (Kindle)
– Roland Lazenby, « Michael Jordan, The Life », sorti le 17 juin 2015, 726 pages, 24 euros et 13,99 en format numérique (Kindle)
– Kent Babb, « Allen Iverson, not a game », sorti le 9 novembre 2016, 322 pages, 22 euros et 13,99 en format numérique (Kindle)
– Jackie MacMullan, « Magic-Bird, quand le jeu était à nous », sorti le 31 mai 2017, 352 pages, 22 euros et 13,99 en format numérique (Kindle)
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