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Interview Lamar Odom : « Peu importe ma place sur le terrain, ça reste du basket »

Joueur le plus âgé et expérimenté de l’équipe américaine avec Chauncey Billups, Lamar Odom aide beaucoup cette jeune équipe américaine à progresser collectivement.

Le double champion NBA avec les Los Angeles Lakers (2009 et 2010) doit également jouer au poste de pivot, une expérience qui n’a pas l’air de le déranger plus que ça.

Comment passez-vous votre temps à Istanbul ?

Je me balade, je vais voir les monuments, je passe du temps avec ma femme, je regarde aussi les autres matches. J’ai vu Argentine-Brésil hier soir (entretien réalisé mercredi), c’était vraiment un super match de basket. Luis Scola a été incroyable. Sinon, je suis aussi allé au grand bazar. J’ai mangé quelques pâtisseries turques, c’était excellent !

Ça vous plaît d’être avec tous ces joueurs contre qui vous jouez le reste de l’année ?

C’est cool ! C’est différent des autres équipes parce qu’on ne passe pas autant de temps ensemble, mais on apprend à se connaître et on devient amis en-dehors du terrain.

Vous avez déjà été plusieurs fois champion avec les Lakers. Qu’est-ce qu’un titre de champion du monde représenterait pour vous ?

Vous savez, on est avant tout des compétiteurs et c’est ce que nous avons fait toute notre vie. Que ce soit lorsqu’on joue au poker, aux échecs ou n’importe quoi, on veut gagner. Mais c’est vrai que remporter le championnat du monde serait quelque chose de fort parce qu’on représente notre pays.

Est-ce que vos coéquipiers, qui sont tous beaucoup plus jeunes et qui manquent d’expérience, viennent vous demander des conseils ?

Oui de temps en temps. Ils m’observent et essaient de voir comment je fonctionne. Quand on a de l’expérience et que de jeunes joueurs viennent vous voir pour vous poser des questions, c’est toujours un honneur. Ils veulent savoir comment je réagirais dans tellle ou telle situation. Mais je ne peux pas leur donner trop d’infos car je dois jouer contre eux la saison prochaine.

Votre rôle est différent avec l’équipe américaine de celui que vous avez avec les Lakers. Comment s’est passée la transition ?

Je n’aime pas vraiment me définir en fonction du poste auquel je joue. Je suis juste un joueur de basket. Peu importe où tu me mets sur le terrain, je pense que je peux contribuer. Que ce soit au poste de meneur, arrière, ailier, ailier-fort, pivot, mon but est de rendre service à l’équipe et de l’aider à gagner. Ça reste du basket.

Vous vous préparez à avoir du travail dans la raquette contre la Russie ?

Il faudra utiliser notre vitesse, nos qualités athlétiques et tout ce qui fait notre force pour gagner le match. Et en défense, j’aurai besoin d’aide défensive, c’est clair. Mais bon, depuis que j’ai commencé le basket, j’ai joué face à des joueurs qui étaient plus petits que moi, ou plus grands, ou moins forts physiquement, ou plus forts. Ça ne fait pas vraiment de différence. J’utilise mon physique du mieux que je peux et je joue avec ma tête en essayant d’anticiper les phases de jeu. C’est comme ça que je peux espérer éviter les problèmes.

Vous affrontez la Russie en quart de finale. Êtes-vous familier des anciens duels sur le terrain entre Américains et Russes ?

Oui, à chaque fois que ces deux pays se rencontraient, c’était toujours des affrontements très durs. Mais je n’ai pas vraiment de souvenirs des Jeux de 1988 par exemple. On se concentre davantage sur le présent. Or aujourd’hui, tous les matches sont difficiles car toutes les équipes veulent nous battre.

Propos recueillis par Romain Brunet à Istanbul
Crédit photo : Romain Brunet

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