Depuis son retour de blessure, et tout comme les Mavericks, Chandler Parsons carbure puisqu’il tourne à 18 points par match à 58 % et 53 % à 3-pts, avec 4.8 rebonds.
La grande nouveauté de ces cinq matches (pour quatre victoires), c’est l’utilisation offensive de l’ancien joueur des Rockets. Rick Carlisle essaie de l’impliquer encore un peu plus en lui donnant les clés et le ballon sur certaines séquences. Notamment sur pick-and-roll avec Tyson Chandler ou Dirk Nowitzki.
« C’est une autre façon d’équilibrer notre attaque », énonce le coach à Dallas News. « La plupart des équipes changent dans ces situations (entre le poste 3 et les postes 4-5). Et, quand elles changent, on peut les attaquer. »
Chandler est donc un « point forward », un ailier chargé de la création, comme peut l’être LeBron James ou Boris Diaw. Pour Carlisle, c’est une manière de soulager Rajon Rondo et de profiter d’un joueur capable de shooter extérieur quand la défense décider de passer sous les écrans.