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Le meilleur sixième homme : le choix de la rédaction

Le titre de meilleur défenseur de l’année a été attribué. La palme du meilleur technicien vient d’être révélée du côté de San Antonio. C’est désormais au tour des meilleurs seconds couteaux de passer à la meule !

Pour le titre de meilleur sixième homme de la saison, la rédaction s’est montrée indécise avec une égalité entre deux cas très différents, mais deux très bons candidats : l’intérieur du Nord-Est, Taj Gibson, et l’artificier du Sud-Ouest, Jamal Crawford. Pour les deux vétérans, Vince Carter et Manu Ginobili (qui s’affrontent en playoffs), ça semble un peu trop court malgré de beaux barouds d’honneur.

1. Taj Gibson et Jamal Crawford (40%)

À tout seigneur tout honneur. Jamal Crawford, meilleur sixième homme en l’an 2010 sous la tunique des Hawks, a encore réalisé une saison de grand malade. Rendez vous compte, il score 19 points par match… et il n’est pas titulaire. Alors, oui, il passe tout de même 30 minutes par match sur le parquet. Et, oui, il joue aux Clippers qui sont la plus grosse artillerie du pays cette saison (108 points de moyenne). Mais tout de même, à 34 ans bien tassés, le natif de Seattle tient encore la (très) grande forme.

Dans sa cinquième année dans la ligue, Taj Gibson (13 points, 7 rebonds) a passé un cap. Membre de la seconde unité de Chicago depuis l’arrivée de Carlos Boozer, le bondissant intérieur a haussé son niveau de jeu après la nouvelle blessure de Derrick Rose. Il a ainsi atteint les 20 points ou plus à 12 reprises cette saison, contre 5 sur ses 4 premières saisons NBA. Avec des records statistiques quasiment à tous les niveaux (points, adresse, contre, interception) Taj Gibson est surtout le sixième homme idéal dans tous les sens du terme. Défenseur féroce et très bon poseur d’écrans, l’impact de Taj est indéniable pour les Bulls.

3. Vince Carter et Manu Ginobili (10%)

C’est à Dallas que Vince Carter a fait la transition. Depuis Toronto jusqu’à Phoenix, en passant par New Jersey et Orlando, Vinsanity était inévitablement versé dans le cinq majeur. All Star oblige. Mais avec les années, à 37 printemps désormais, Vince Carter a changé son fusil d’épaule. Dégradé en termes de temps de jeu, l’ancienne superstar des Raptors n’en reste pas moins un redoutable scoreur avec ses 12 points de moyenne et sa capacité à prendre feu de loin (40% à trois points).

Comme Vince Carter, Manu Ginobili n’est plus de première fraicheur mais l’Argentin à la tonsure zidanesque continue de briller. Toujours aussi insaisissable dans son rôle d’électron libre, « El Manu » est débarrassé de ses pépins physiques qui lui avaient pourri sa saison l’an passé, et ses pourcentages de réussite en hausse dans le champ et sur la ligne de réparation prouvent que l’éternel Spur est bien plus en jambes cette année. De quoi aller chercher un deuxième titre de meilleur sixième homme, six ans après son premier ?

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