On ne peut pas parler de « buzzer beater » mais c’est tout comme… A 13 secondes de la fin de la prolongation face aux Pistons, Damian Lillard décide de la jouer solo. Rodney Stuckey ne le lâche pas d’un centimètre, et il défend même très bien. Sauf que Lillard réussit un fadeaway avec un shoot arc-en-ciel qui crève le filet. Portland s’impose à un dixième de la fin grâce à son meneur de jeu.
« Stuckey a fait du super boulot mais les coaches m’avaient prévu que j’aurais besoin de deux moves pour faire la différence » racontera Lillard. « Il a bloqué mon premier move, et j’ai compris qu’il ne me laisserait pas aller au panier. Donc, je me suis appuyé sur mon épaule, et je suis parti sur un fadeaway. J’ai senti que c’était bon au moment de shooter. »