Après Spike Lee, il est sans doute le supporter le plus célèbre des Knicks. Mais Fat Joe n’est pas du genre à aboyer sur le bord des terrains. Lui, il est plutôt de la trempe d’un Jay-Z à jouer de son influence auprès des stars.
Dans le New York Times, il explique ainsi qu’il a joué un rôle dans les venues d’Amare Stoudemire puis de Carmelo Anthony.
« Ce que je leur ai dit, c’est que même si on a rien gagné depuis longtemps, ils arriveraient dans la plus belle ville du monde, joueraient dans la plus belle salle au monde et sous les yeux de la planète entière. Ici, ils auraient la possibilité de botter le cul de certains et de devenir des grands. C’est comme dans la chanson de Sinatra : si tu y arrives ici, tu peux y arriver n’importe où ! Si tu es le roi de cette équipe, tu es le meilleur au monde. Et peu importe ce qu’en disent les autres. »
Un discours qui n’a pas fonctionné avec Tony Parker ou Chris Paul.
« J’étais à fond derrière eux… « On a besoin de toi. On te veut ici. » J’ai essayé. Mais ça n’a pas marché. »