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Convention collective : la NBA et le syndicat des joueurs ont repoussé la date-butoir

NBA – La ligue et le syndicat des joueurs se donnent quelques mois supplémentaires pour négocier, afin d’éviter un « lockout » au sujet du prochain accord collectif.

La NBA et le syndicat des joueurs avaient jusqu’au 15 décembre pour sortir, conjointement, de la convention collective qui court jusqu’à la saison 2023/24. Mais comme attendu, les deux camps ont pour le moment préféré repousser cette date-butoir au 8 février, juste avant le All-Star break.

Des mois supplémentaires qui doivent permettre de continuer les négociations pour le prochain accord collectif.

C’est tout de même le signe que les pourparlers entre les deux camps sont moins simples qu’initialement envisagé et qu’un lockout au 1er juillet 2023 n’est pas totalement exclu.

Car même si la NBA ne s’est jamais aussi bien portée sur le plan financier, il se murmure que la majorité des propriétaires fait pression pour mettre en place un « hard cap ». C’est-à-dire un « salary cap » strict pour éviter que des franchises comme les Clippers ou les Warriors dépensent sans compter pour jouer le titre, au détriment de franchises beaucoup moins riches, qui n’ont pas les moyens d’outrageusement dépasser le « salary cap » et de payer des dizaines, voire des centaines de millions de dollars de « luxury tax ».

LEXIQUE

– Salary cap : c’est la masse salariale définie par la NBA. Pour la prochaine saison, elle est annoncée à 125 millions de dollars, mais pourrait être encore plus élevée. Les franchises NBA ont la possibilité de la dépasser lorsqu’elles prolongent leurs propres joueurs ou via des « exceptions ».

– Luxury tax : en NBA, le salary cap n’est pas strict, et la NBA autorise les franchises les plus riches à dépasser le seuil fixé avec une marge de tolérance d’environ 20%. En l’occurrence, l’an prochain, les franchises auraient normalement pu dépenser jusqu’à 139 millions de dollars. Ensuite, pour chaque dollar dépensé au-dessus de ce plafond, les franchises doivent verser la « luxury tax » à la NBA. Une sorte d’impôt qui peut coûter très cher, et les candidats au titre paient généralement chaque année plusieurs dizaines de millions de dollars. Une somme reversée ensuite aux franchises, bonnes élèves, qui n’ont pas payé la « luxury tax ».

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