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Patty Mills, le transmetteur de San Antonio

Le meneur est un maillon essentiel du groupe actuel des Spurs puisqu’il est le dernier vestige, avec Marco Belinelli, du titre de 2014, donc d’une partie de l’héritage des années Tim Duncan.

Après la saison passée, plombée par l’épisode Kawhi Leonard, les Spurs vivent une seconde saison régulière de rang compliquée et sans réelle saveur.

Sauf que cette fois-ci, il n’y a pas de soucis internes pour justifier les résultats assez moyens d’une franchise habituée à l’excellence pendant presque vingt ans.

« C’est une année en mode montagnes russes », confesse le meneur remplaçant. « Il y a des hauts et des bas. La régularité est limitée, et c’est compliqué, mais on pense toujours plus grand, on essaie d’avancer. Le plus important pour l’instant, avec l’adversité qu’on traverse, c’est de garder les gars ensemble, l’équipe soudée. Ça, je peux le faire. »

Toujours positiver

L’Australien conserve son rôle de « défibrillateur » en sortie de banc avec 10 points de moyenne à 40% de réussite à 3-pts mais surtout, à 30 ans passés et avec sa bague remportée en 2014, il est le totem de l’ancienne époque.

Le gardien du temple ainsi que le messager de l’école Spurs alors que Gregg Popovich regrette que Tim Duncan, Tony Parker et Manu Ginobili ne soient plus là pour intégrer et former les nouveaux.

« On avait de grands leaders, de grands coaches, de grands joueurs qui menaient les troupes, et maintenant on vit un moment de transition entre cette ancienne époque et la nouvelle », constate-t-il. « Il faut désormais apprendre cette culture à ces nouveaux joueurs, pour qu’ils comprennent nos méthodes car on ne va pas changer, pour personne, puisqu’on ne l’a jamais fait avant. C’est clairement aussi une transition pour moi d’essayer de combler ce fossé avec les jeunes et ça va prendre du temps. »

En pleine saison « normale », San Antonio semble assurer le minimum : se qualifier pour les playoffs. Si cela se confirme dans quelques semaines, ce serait déjà très bien. Passer un tour ensuite ? On verra le temps venu, assure Patty Mills.

« Ce n’est pas le même niveau d’attente que pour les précédentes années. On a réussi de bonnes choses, on a fait du chemin avec cette nouvelle équipe et ces nouveaux joueurs. On essaie de garder les petites choses positives pour travailler dessus et faire les playoffs. Ensuite, une fois en playoffs, on essaiera de passer des tours mais pour le moment, on a encore du pain sur la planche pour garder notre place. »

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