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Chez les Wizards, un peu de sursis au cœur des soucis

Comme le disait Markieff Morris après la rencontre, cette victoire arrachée face à des Clippers en forme ne règle rien des soucis actuels des Wizards, sur le terrain et en dehors. Un peu de sursis, et encore. Washington a connu une nouvelle entame de rencontre catastrophique en se retrouvant mené de 24 points dans le second quart-temps. Ce n’était pas le premier scénario du genre joué à domicile. On pense à la réception du Thunder, ou des Blazers notamment.

« C’est le problème », se désole Bradley Beal. « Tout n’est pas réglé. Au final, on ne peut pas être naïfs et se dire qu’on a gagné après avoir été mené de 20 points. On s’est fait botter le cul. On doit regarder en arrière et comprendre que nous avons encore beaucoup de choses à régler. On gagne ce soir mais on doit savoir que si on fait la même entame à Toronto (vendredi soir), le résultat pourrait ne pas être le même. »

Washington pourra au moins de satisfaire du bien meilleur visage affiché lors de la seconde période. Prenant le dessus sur des Clippers dans la deuxième soirée de leur « back-to-back », les Wizards ont haussé le ton en défense (45 points encaissés contre… 73 points en première) et fait preuve de plus de lucidité en attaque. À l’instar de John Wall, véritable révélateur de l’équipe. Souvent hors de contrôle au démarrage, le meneur s’est montré plus adroit et plus juste dans ses choix par la suite.

« Des conversations entre adultes peuvent chauffer »

Seulement, comment expliquer ce nouveau retard à l’allumage ?

« Je ne pense pas que ce soit une histoire de motivation », commente John Wall. « Être à 5 victoires et 11 défaites, perdre des matchs à domicile, ne pas bien jouer des deux côtés du terrain, il y a suffisamment de motivation. On ne défend pas. On a les pires statistiques de la ligue dans le domaine. Ce devrait être notre motivation. »

Malgré ce noir tableau sportif dépeint, en plus de rumeurs de transfert qui enflent, le meneur redit son envie de terminer sa carrière avec les Wizards, mettant de côté les récents échanges houleux avec son coach. « Je ne veux pas minimiser ce qu’il s’est passé mais ce sont des choses qui arrivent », tempère Scott Brooks. « Dans un contexte de compétition, des conversations entre adultes peuvent chauffer. »

Le coach veut passer à autre chose et pousser ces joueurs à retrouver « l’énergie et la détermination » nécessaires pour remonter la pente. « On est déçus mais on a encore beaucoup de temps » pour y parvenir. Cette volonté de faire bouger les lignes s’est par exemple incarnée par un changement dans le cinq de départ : sans Dwight Howard (blessé) remplacé par Thomas Bryant (première titularisation en carrière), Markieff Morris a de son côté laissé sa place à Kelly Oubre Jr.

Un changement de cinq avant un changement pur et dur dans l’effectif ?

« On s’adore tous au final mais c’est un business », rappelle Bradley Beal. « Si (Ernie Grunfeld, le General Manager) a un super échange sur la table, il le fera. On se doit de respecter la décision de tout GM et faire avec. Mais est-ce que quelqu’un veut vraiment être échangé ? J’en doute vraiment. Aucun de nous n’a de décision à prendre, à moins que quelqu’un ne commence à dire : ‘Sortez-moi de là !’ »

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