À peine la sélection grecque se qualifiait – au buzzer – pour la Coupe du monde 2019, que la présence de Giannis Antetokounmpo en Chine commençait à faire fantasmer tout un pays. Sauf que la volonté du « Greek Freak » de jouer pour son équipe ne suffit pas toujours. La preuve : son sélectionneur avait annoncé en mai dernier que le Buck serait de la partie pour les matchs de septembre qui viennent d’avoir lieu.
Un nouveau couac dans la relation tumultueuse qu’entretient la fédération avec son joueur, un an après celui de l’Eurobasket 2017. Et peut-être pas le dernier vu les déclarations du président de la fédération, George Vasilakopoulos, sur les ondes de la radio « Fairplay FM », au moment d’évoquer la présence ou non de Giannis en Chine.
« Je ne suis pas en position de répondre, je ne veux pas dire quelque chose dont je ne suis pas certain », botte-t-il en touche, dans des propos relayés par Eurohoops. « Évidemment, on veut l’avoir en Chine. Je vous ai déjà dit qui étaient les trafiquants du monde du sport, et l’affaire Antetokounmpo est une affaire d’agents. C’est une profession parasitaire. L’affaire Antetokounmpo est compliquée. J’espère qu’il comprendra que, grâce à son pays, il est devenu un protagoniste aux Etats-Unis. »
Ambiance.