Kristaps Porzingis toujours pas autorisé à courir

Comme d’autres avant lui, Kristaps Porzingis a choisi de maîtriser sa comm’ de A à Z, et dimanche, il a mis en ligne le 3e épisode de sa série « Porzingis’ Comeback ». Cette fois-ci, il évoque son choix de poursuivre sa rééducation dans les installations du Real Madrid et il explique où il en est six mois après sa rupture d’un ligament du genou.

« J’ai choisi Madrid parce que j’ai étudié des situations différentes, et celle-ci était la meilleure pour moi évidemment pour les installations, mais aussi parce ce que l’ensemble fait partie de ce qu’il y a de mieux au monde » se justifie la star newyorkaise.

Pour son frère, qui s’occupe de ses intérêts, les installations sont « très, très impressionnantes », et elles sont conçues pour ce qu’il y a de mieux « en Europe en football et basket. »

Sur le plan de sa rééducation, Porzingis passe évidemment par des moments d’impatience et de lassitude, mais il serait en avance sur son planning. Selon des sources, citées par le New York Post, un retour pour Noël est envisageable.

« Il y a des moments où l’entraînement est ennuyeux, à faire toujours les mêmes choses encore et encore » poursuit le Letton. « Je continue de travailler sur le renforcement de ma jambe, et faire des exercices, sans la blessure, sera vraiment plus facile. Mais la blessure aussi est mentale. C’est la partie la plus importante pour moi : rester frais dans ma tête, chaque matin, à essayer de travailler sur ma jambe. »

Pas question en revanche de courir pour le moment : « Je fais des shoots, je bouge mes appuis, je saute un peu, mais je ne suis pas autorisé à courir. Je prends mon temps pour ça. Je fais en sorte d’être certain que les muscles soient de retour à leur état normal avant de commencer à courir. Je marche à un bon rythme pendant une heure, je fais de la muscu’… Je ne suis pas obsédé [par le fait de courir]. Je ne veux pas mettre trop de pression sur mon genou. Le plus important est de travailler sur l’ensemble du corps et faire en sorte que ce soit solide quand je vais revenir. »