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Après l’errance du début du siècle, Jerry Colangelo est fier de la domination de Team USA

Jeux olympiques 2008, Championnats du monde 2010, Jeux olympiques 2012, Championnats du monde 2014 et Jeux olympiques 2016. Depuis 10 ans, l’hégémonie américaine est totale sur le basket international et Team USA remporte médaille d’or sur médaille d’or. Mais les principaux architectes de cette domination n’oublient pas la période d’errance connue par l’équipe nationale au début des années 2000.

Une humiliante 6e place aux Championnats du monde 2002, qui plus est à domicile, une « simple » médaille de bronze aux JO 2004, une autre 3ème place au Mondial 2006… « Je ne peux pas oublier ces défaites, ce sera toujours là », confie l’homme clé de la rédemption américaine, Jerry Colangelo, présent lors du dernier rassemblement de l’équipe. Cela dit, c’est de l’histoire ancienne. »

La machine Team USA tourne à plein régime

Nommé directeur de « USA Basketball » en 2005, Colangelo se souvient encore très bien de sa discussion Mike Krzyzewski, qui venait de prendre les rênes de l’équipe, après le passage mitigé de Larry Brown.

« Lorsque je l’ai rencontré en 2005, nous parlions de charger la culture. Nous parlions de mettre en place une infrastructure qui durerait longtemps après notre départ. Nous avons donc changé la culture, l’infrastructure est en place et c’est une sorte de machine. Mission accomplie donc. »

En effet, depuis le début du programme Colangelo, en 2005, Team USA revendique un bilan proche de la perfection avec ses joueurs NBA : 89 victoires pour un revers, la fameuse défaite américaine face à la Grèce en 2006. Un résultat à peine entaché par la défaite surprise face au Mexique par une sélection composée de joueurs de G-League en match de qualification pour la prochaine Coupe du monde.

« Nous avons un nouveau coach pour aller de l’avant », poursuit Colangelo en référence l’arrivée de Gregg Popovich. « Nous avons parlé de là où nous étions aujourd’hui, de ce que nous avions accompli mais passons à autre chose maintenant. Nous avons du travail. Tout le monde veut nous faire tomber. »

Booker, Tatum, Mitchell… « La prochaine vague »

Mais le dirigeant ne s’en fait pas trop au regard du réservoir américain de talents. Des stars qui, désormais, ne rechignent plus à porter le maillot. Comme cela pu être le cas par le passé.

« Quand nous avons lancé le programme, j’avais besoin que les joueurs s’engagent », dit Colangelo. « Une fois que c’était le cas, il était important pour nous de leur montrer que cela allait être spécial et que cette expérience allait être phénoménale. Et très vite, c’est devenu une situation où les gars voulaient être là. C’était précisément l’objectif. »

Team USA a pu s’appuyer sur une génération dorée de joueurs avec Kobe Bryant, LeBron James, Carmelo Anthony, Dwyane Wade ou encore Chris Paul. Aujourd’hui, les Kevin Durant, Stephen Curry ou Kyrie Irving assurent la relève en attendant la génération suivante.

« Nous savons que ces jeunes comme Book (Devin Booker) et Myles (Turner) et Donovan Mitchell, (Jayson) Tatum et Jaylen Brown sont surveillés, c’est la prochaine vague qui est prête à venir. »

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