Un quart-temps. C’est ce qu’il a fallu à Stephen Curry pour rappeler pourquoi il était le MVP en titre. Face aux Pelicans, ses victimes du premier tour des derniers playoffs, et face à son ancien assistant-coach Alvin Gentry, le meneur vedette des Warriors est de suite rentré dans le vif du sujet avec un premier quart-temps de rêve pour une soirée d’ouverture : 24 points.
Toujours aussi facile, que ce soit face au pauvre Nate Robinson ou Ish Smith, le meneur a imprimé son propre rythme, courant dans tous les sens, alternant coupes vers le panier, salves à huit ou neuf mètres et contre-attaques à pleine allure.
Malgré la présence d’Anthony Davis, Stephen Curry ne voulait pas laisser de place au doute : la star, c’est lui et l’Oakland Arena est toujours sa salle.